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Belkacem CHAKOURI

CASABLANCA

En résumé

Avocat Agréé près la Cour de Cassation
Avocat d'affaire spécialisé en conseil et assistance aux entreprises, fusion-acquisition,....
Droit immobilier, conseil en acquisition et promotion immobilière, droit des contrats.
Droit international Pénal.
Recouvrement.

Etudes primaires à téophile gauthier et à Audissou.
Etudes secondaires à Lyautey, Subrini, et Foch.
Etudes supérieures en France et au Canada.
Université du Québec à Montréal, Université Via Dominitia

Je dirige le cabinet chakouri depuis 1994. Il a été fondé par mon père feu maitre Chakouri Mohamed en des premiers avocats au Maroc (numéro 13 sur la liste).

J'exerce mon activité depuis 1994 après avoir effectué des études supérieures au Canada et en France.

J'essaie de promouvoir dans la mesure de mes moyens la noblesse de notre profession, ses valeurs de droiture, de respectabilité, et d'adhésion au service de nos concitoyens.

D'autre part, dans le cadre de mes activités professionelles que j'exerce avec toute la conscience requise et possible, j'essaie dans la mesure du possible d'apporter assistance à toute personne en situation réelle de détresse qui veut bien s'adresser à mon Cabinet, et ce,dans la droite ligne des valeurs que m'a transmise mon père, Feu Maitre Mohamed CHAKOURI. dont la réputation et le souvenir sont toujours vivaces tant au sein de notre profession, qu'auprès des personnes qui ont eu à le cotoyer à titre personnel ainsi qu'au sein de notre profession.

Pour ces raisons et pour rendre à notre profession le lustre qu'elle a malheureusement perdu durant ces dernières années, j'essaie de mettre en place avec certains de mes confrères partageant les memes valeurs, un réseau d'avocats à l'international ayant une chartre et défendant les valeurs universelles de notre métier.

Afin de joindre l'utile à l'agréable si je peux m'exprimer ainsi, ce réseau servira de relais à notre activité professionelle, et ce, tant pour le confort de notre pratique quotidienne, que de l'intéret de notre clientèle qui retrouvera là un socle de valeurs communes et habituelles dans quelque pays qu'elle se trouve afin qu'elle ne soit jamais dépaysée sur le plan juridique et la défense de ses droits dans quelque endroit dans le monde où elle se trouve.

Projet certes ambitieux mais néammoins louable puisqu'il s'inscrit dans une tradition de service et non pour satisfaire un ego particulier.

Poue revenir à mon activité et plus particulièrement à mon cabinet, nous sommes une dizaine de personnes dont quatre collaborateurs titulaires, deux stagiaires, et moi-meme.

Nous sommes une équipe pluridisciplinaire où chacun de nous a une spécialité particulière.

De ce fait nous agissons en matière commerciale, contractuelle, immobilière, fiscale, administrative, civile, statut personnel, et droit pénal.

Nous dispensons d'autre part une activité de conseil aux particuliers et aux entreprises.

L'essentiel est que nous puissions offrir à notre clientèle une palette de services et une proximité totale afin qu'elle sente l'esprit d'un cabinet humain et à taille humaine.

Nous avons des collaborateurs extérieurs dans d'autres villes du Maroc ainsi qu'en Espagne et en France, Allemagne, Suisse, grande-Bretagne, Luxembourg, Honk-Hong, Algérie, Tunisie.

A ce propos nous invitons tout confrère désirant collaborer à prendre directement avec nous sur le site :
http//www.avocatmaroc.fr

Tout dossier qui nous est confié fait l'objet d'une attention et d'une étude particulières en équipe suivi d'un compte rendu détaillé au client quant aux suites juridiques à y donner, et où toute décision est prise en commun avec le client dans un souci avant tout d'efficacité.

Notre site web est opérationnel et visualisable sur le net (www.avocatmaroc.fr) et j'espère qu'il reflètera l'esprit et la chaleur si on peut s'exprimer ainsi de l'atmosphère de notre cabinet.

Maître Belkacem CHAKOURI ait partie depuis 2015 de l'association internationale des avocats l'A.E.A. International Lawyers Network

Merci
Comment le Maroc s’est retrouvé si bien noté
Auteur : L'Economiste
Parution : 29.09.2015

-LE DETAIL DE LA METHODOLOGIE DU RATING
-ORIGINALITE: L’INDICATEUR BASE SUR DES CAS PRATIQUES
-IL FAUT S’ATTENDRE A DE FORTES CRITIQUES
Les chercheurs, codirigés par Catherine Kessedjian (professeur de droit) et l’économiste Bruno Deffains, ont élaboré un «Index sur la sécurité juridique» incluant «dans un premier temps 13 pays». Publié en mai 2015, leur «méthode de recherche applicable» est le bilan d’un an et demi de travail. Le but étant «de poser les fondements d’une évaluation empirique» en comparant entre plusieurs législations. «Il convient de faire preuve d’une certaine humilité… Tout classement est sujet à des aléas, en fonction de la qualité des matériaux de base (ici les réponses) et des pondérations retenues», d’après Jean-François Dubos, président de la Fondation pour le droit continental. Celle-ci est le commanditaire du rapport ayant opté pour «la méthode de cas».
La notion de «sécurité juridique» a été d’abord établie sur la base de recherche bibliographique menée dans les 4 langues du projet (allemand, anglais, espagnol et français). Par sécurité juridique on entend «transparence de la règle de droit, son accessibilité, sa stabilité raisonnable dans le temps et sa prévisibilité pour l’issue du litige». Ces critères orientent les «grands principes abordés dans les questionnaires adressés à des spécialistes.
Le nombre des répondants, avocats et universitaires, varie d’un pays à l’autre: 11 au Maroc (voir encadré: «Qui étaient les correspondants?»), 9 juristes au Sénégal, 13 au Japon, 16 au Norvège, 50 au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis…
Chacun des six domaines de droit visés par le questionnaire (contrat, immobilier, droit du travail, des sociétés…) a été subdivisé en deux axes.
La première partie est générale et découpée en sous-thèmes: accessibilité d’une loi, sa stabilité, son efficacité… Exemple: «La règle d’origine législative ou jurisprudentielle?»; «Législative, disponible dans un recueil, interprétée par la jurisprudence également présente dans un recueil?»; «Législative, éparpillée dans de multiples sources, et la jurisprudence est importante pour sa compréhension… Méthode similaire pour les questions relatives à la stabilité du droit: «La règle est-elle l’objet d’une controverse? A-t-elle changé durant les 5 dernières années?.

.». Malgré l’existence de plusieurs cases à cocher, la formulation conditionnelle (si oui) a été écartée.
La seconde partie du questionnaire dite «spécifique» compte 12 cas pratiques au total. A l’exception du règlement des différends, «une structure identique a été conservée pour l’ensemble des cas» validés à l’avance par le comité. Chaque point de droit «recouvre les questions nécessaires à l’évaluation de la sécurité juridique d’un système». Un spécialiste au moins par domaine a été interrogé et «pratiquant dans le pays pour lequel il devait répondre». Quel que soit le cas soumis, la même formulation et type de questions ont été retenus». Pour le droit des contrats, les litiges à résoudre portent sur «l’ajustement du prix», «les clauses pénales et clauses limitatives de responsabilité».
Les chercheurs optent pour 3 types de questions: celles chiffrées et qui portent sur des valeurs monétaires, des durées ou des taux de participation, les questions binaires (oui ou non) et enfin catégorielles (plusieurs réponses classées selon une échelle allant de la meilleure option à la plus mauvaise). Le comité scientifique retient au moins un répondant par pays et par domaine de droit. Les notes ont été «normalisées» de sorte que «l’écart entre chaque note soit toujours le même». Ainsi la meilleure réponse recevra 10 points et la mauvaise zéro. La note finale est la moyenne des scores réalisés dans chacun des domaines étudiés (droit du travail, des sociétés, des contrats…). De manière à mettre en évidence les écarts entre pays.

Qui étaient les correspondants au Maroc?

L’Index sur la sécurité juridique a fait appel à des praticiens pour répondre notamment à «un cas juridique type lié à la sécurité juridique». «Un spécialiste au moins par domaine de droit» a été interrogé. Les répondants ont été choisis «prioritairement parmi les avocats et universitaires spécialisés et pratiquant dans le pays pour lequel ils devraient répondre». Pour le Maroc, 11 juristes ont été sollicités et basés pour la quasi-majorité à Casablanca.
- Simon Auguier (Gide Maroc)
- Rachid Benzakour (CBL)
- Yasser Loudghiri (LPA)
- Belkacem Chakouri (avocat)
- Asmaa Laraqui, cabinet Bassamat
- Mustapha Mourahib (Clifford Chance Maroc)
- Bertrand Fournier-Montgieux (Clifford Chance France)
- Pr. Azzedine Kettani, université Hassan II de Casablanca
- Keltoum Boudribila, Ghiyta Iraqi, Kamal Nasrollah (Baker & Mc Kenzie


Mes compétences :
Droit international des affaires
Comment le Maroc s’est retrouvé si bien noté Auteu

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  • Cabinet d'Avocat Chakouri LAWYERS FIRM - Avocat

    1994 - maintenant

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