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Cecilia THIBAULT

Paris

En résumé

Cécilia Thibault, 28 ans.

Entreprises

  • Education nationale - Professeur de sciences économiques et sociales

    Paris 2011 - maintenant Professeur de SES en classe de seconde et en classe de terminale dont j'étais la professeure principale. Préparation des cours et enseignement dans trois classes de seconde (20 élèves) et dans la seule classe de terminale du lycée (34 élèves). Les sciences économiques et sociales représentent le plus fort coefficient en classe de terminale (coefficient 9). Préparation des cours, des conseils de classe et animation des conseils de classe pour la terminale en tant que référent professeure principale. Enfin j'ai également effectué un travail de conseil et de présentation quant à l'orientation concernant les études supérieures.
  • DPVI- Mairie de Paris - Chargée de mission

    2010 - 2011 Au sein du service Intégration, droits de l'homme et luttes contre les discriminations, à la Délégation de la Politique de la ville à l'intégration, j'étais chargée de suivre le projet de réhabilitation des foyers de travailleurs migrants, sur l'ensemble du territoire parisien. Le but étant de participer à l'intégration des populations immigrées afin d'éviter leur isolement et ainsi créer davantage de lien social.

    L'objet de la mission consistait à mener la réhabilitation des foyers de travailleurs migrants parisiens en résidence sociale, avec l'ensemble des acteurs suivants: les gestionnaires des foyers (principalement ADOMA, l'AFTAM et ADEF), la CILPI, les élus, la DLH et les représentants des comités de résidents des foyers en rénovation. Le territoire parisien compte 46 foyers, mais seuls 20 foyers font et feront l'objet d'une réhabilitation, compte tenu de leur état extrême d'insalubrité.
    Jusqu'en 2005, la conduite du pilotage du plan de traitement des FTM était effectuée par l’Etat (46 sites parisiens et environ 8 700 lits pour 14 000 résidents).
    En 1997 le plan quinquennal pour les foyers de travailleurs migrants est lancé par l’Etat pour engager une transformation d’un habitat devenu souvent insalubre. Une convention est signée le 14 mai 1997 entre l’Etat et l’Union d’Economie et Sociale pour le logement, qui incitent les propriétaires, les gestionnaires, l’Etat et les collectivités locales, à formaliser et à engager des actions de transformation et de rénovation au sein des foyers.
    Le plan quinquennal est prolongé une première fois en 2001 puis il est reconduit en 2006 sur un septennat de 2007 à 2013.

    La mission est alors transférée le 20 avril 2005 à la Ville de Paris, qui signe une convention avec l’Etat et récupère le droit à la pierre. La collectivité parisienne se charge alors des compétences relatives à l’attribution des aides publiques destinées au logement social et à l’amélioration de l’habitat. La Ville de Paris met alors en œuvre le plan de traitement des FTM parisiens sur 20 sites prioritaires avec comme politique, d'envisager les conditions d’un maintien du rôle de restaurant collectif à caractère social, tout en s’assurant d’un fonctionnement normalisé, rationalisé, légal et transparent.
    Depuis la création des FTM dans les années 1960, les résidents ont mis en place des systèmes de restauration collective. Les chambres n'étant pas équipées de cuisines individuelles et les résidents travaillant souvent loin du lieu de résidence, la mise en place des cuisines s'est révélee être le moyen le plus adéquat et le moins cher, pour se restaurer de façon collective et conviviale. Aujourd'hui, se sont plus de 1000 repas par jour qui sont préparés et vendus dans les plus grands foyers de Paris. C'est pourquoi la Ville de Paris souhaite rendre légal cette activité qui remplit un rôle social conséquent.

    Des réunions de copilotage avait lieu tous les mois, pour mettre en oeuvre la réhabilitation et la légalisation des activités de restauration.
    J'ai alors participé à l'ensemble des réunions tout en travaillant à la coordination de celles-ci et à la mise en réseau des différents acteurs. De plus j'ai écrit un courrier qui a servi à l'élu de la Mairie de Paris, chargée de l'intégration, de pouvoir obtenir un budget de 800 000 euros pour financer, les travaux et les équipements en vue de transformer l'activité de restauration en restaurants légalisés.

    Au sein du service, j'ai également instruit les dossiers de demandes de subvention des associations. Je me suis spécialement chargée de préparer l'instruction des dossiers dans le cadre du Label Paris CO-développement ainsi que de la gestion budgétaire.

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