Né dans les années 1970, Christophe Février est un Mayennais qui fait ses premiers pas en entreprise en 1992 au sein de la CFDT. Il assure de bons et loyaux services jusqu’en 1994, année de lancement de sa société d’audit et de conseil. Cette dernière est rémunérée aux résultats. C’est à force de persévérance dans l’effort qu’il réussira cette entreprise jusqu’en 2008. Fort de l’expérience acquise, il fonde cette même année, la société de services en efficacité énergétique dénommée GEO France. Bien connue dans la sphère industrielle française, cette dernière joue un rôle important dans le dispositif national de performance énergétique et des certificats d’Économie d’Énergie.
Promoteur infatigable du « made in France », Christophe Février œuvre continuellement pour le développement local et s’oppose farouchement à la désindustrialisation des régions françaises. Il milite en faveur de la création et de la conservation des emplois. Un tel engagement l’amène à être fréquemment aux côtés des entreprises en difficulté. Lorsqu’il en a l’opportunité, il n’hésite pas à en sauver plusieurs en reprenant leurs activités. Il aime faire du « sur-investissement » là où d’autres n’osent plus miser un sou. Il confie préférer ré-injecter ses bénéfices dans l’économie plutôt que de chercher à faire fortune à travers la distribution de dividendes.
C’est de façon très naturel que la fibre entrepreneuriale naît chez cet autodidacte qui n’hésite pas à reprendre la société VALENTIN courant 2010. Après seulement deux ans d’activités, l’effectif des salariés double suite à la consolidation des installations. Le dynamisme de cette entité spécialisée dans le conditionnement de vins effervescents, est désormais patent puisqu’elle exporte ses productions dans plus de 25 pays. En rachetant l’entreprise PLYSOROL en 2013 qui réalise aujourd’hui plus de 60 % de son chiffre d’affaires à l’export, Christophe Février sauve la mise aux populiculteurs de Champagne-Ardennes. Un an plus tard, l’entreprise TECSOM, spécialisée dans les dallages de luxe, est aussi reprise par cet industriel. Cette société fait partie des meilleures sur l’échiquier mondial des aiguilletées. De l’industrie à la culture ou aux médias, l’homme d’affaires n’y voit qu’un pas qu’il franchit admirablement en s’intéressant à « Flair Film », à « Flair Productions » et au journal local « Le Petit Niçois ». Bien que déjà à la tête d’un groupe d’une dizaine d’entreprises, Christophe Février continue l’aventure entrepreneuriale.
Pas de formation renseignée