Assystem
- Ingénieur BE, Maintenabilité aéronautique, EUROCOPTER
Courbevoie2013 - maintenantMission 1:
Création et mise en place d'une méthodologie de calcul des temps de maintenance théoriques, basés sur le manuel de maintenance.
Mission 2:
Adaptation du programme de maintenance et de ses échéances en fonction du besoin client et du retour d'expérience.
Asiainspection
- Inspecteur qualité
Hong Kong2012 - 2012Basé en Chine, déplacement dans différentes usines chinoises pour contrôler la qualité des marchandises commandées par des clients étrangers ou chinois.
Aéroconseil
- Ingénieur stagiaire en Supportabilité
Blagnac2011 - 2011Au sein du département "Maintenance Design & Aircraft Operability", j'ai intégré l'équipe du projet "Aircraft Operability" afin d'y réaliser un ensemble de formations destinées aux ingénieurs et techniciens intégrant l'équipe.
Le projet "Aircraft Operability" a pour but de réaliser des analyses sur des avions en cours de conception ou en service, afin de minimiser les coûts de maintenance et maximiser la disponibilité de l'avion.
Les équipes sont réparties à l'international et n'ont pas forcément la même manière de mener leurs analyses. Le but de ces formations est d'harmoniser ce travail afin de bénéficier de données homogènes et facilement accessibles. La réalisation de ces formations demande donc une forte interaction avec les différentes équipes afin de profiter de leur expérience et de leurs conseils.
Les formations sont réalisées sous format powerpoint ou word. Une interface html a été réalisée pour pouvoir naviguer et consulter les formations.
Les activités concernées : Maintenance Economics, Operational reliability, Maintainability, Human factors.
CNRS
- Stagiaire, élève ingénieur
Paris2009 - 2009Stage réalisé dans le laboratoire de combustion et de détonique, au sein d'une équipe de chercheurs chargés de l'étude des dommages engendrés par l'impact de micro débris à très haute vitesse (sur des engins spatiaux notamment). Des expériences sont réalisées grâce à l'utilisation de lasers à forte puissance, mais sont aussi réalisées des simulations d'impacts grâce aux outils numériques (Hyperworks).
Ces impacts à très haute vitesse engendrent parfois de très grandes déformations qui peuvent poser problème lors de leur simulation en éléments finis classiques (représentation avec maillage et éléments cubiques).
Les fluides (se déformant énormément) sont représentés, en élément finis, grâce à un modèle de particules : SPH (Smoothed Particles Hydrodynamics). La matière est représentée par un ensemble de petites sphère interragissant entre elles grâce à une sphère d'influence (à la manière des atomes), et il n'y a donc pas de maillage.
Le but du stage était d'évaluer si la méthode SPH (non utilisée pour les solides jusqu'à présent) était adaptable à la simulation d'impacts à très haute vitesse et pouvait effectivement représenter correctement les grandes déformations tout en simulant le choc de manière aussi efficace qu'une méthode classique avec maillage. Ces travaux ont permis à l'équipe de mieux connaître la métohde SPH et d'envisager son utilisation, cependant l'énorme besoin en puissance de calcul en fait une méthode difficile à utiliser.