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François LEMIRE

TROIS-RIVIÈRES

En résumé

Bonjour,

Après 32 ans comme professionnel et gestionnaire dans le réseau de la santé et des services sociaux du Québec, je travaille maintenant en santé psychologique au travail auprès des entreprises et des organisations.

Je suis membre retraité de l'Ordre des psychologues du Québec, membre retraité de l'Association des gestionnaires de la santé et des services sociaux du Québec et auteur de 4 livres de psychologie dont La santé psychologique des employés, Éditions Québecor, 2012.

A bientôt

Mes compétences :
Formation
Management
Psychologie
Supervision

Entreprises

  • François Lemire - Consultant

    1977 - 2012 SERVICES OFFERTS

     Prévention du stress, de l'épuisement professionnel, de la dépression et des dépendances (drogue, jeu, alcool)
     Conciliation travail-famille
     Saines habitudes de vie (alimentation, tabagisme, activité physique)
     Violence et harcèlement au travail
     Reconnaissance au travail
     Climat de travail
     Amélioration de l'organisation du travail
     Implantation d’un programme d’aide aux employés
     Intervention de crise

    Et ce, via :

    1. Ateliers (3 heures à 2 jours)
    2. Conférences (1 heure)
    3. Consultation
    4. Supervision

    Destinés aux :

     Employés
     Gestionnaires


    APPROCHE
    LE MODÈLE INTÉGRATEUR

    Dr Michel Vézina est un médecin en santé au travail qui œuvre depuis de nombreuses années au sein de l’Institut national de santé publique du Québec. Il est aussi l’auteur d’un livre culte en la matière, soit «Pour donner un sens au travail». Il nous propose un modèle théorique à la fois simple et complet pour expliquer l’impact des différents systèmes impliqués dans la compréhension de l’émergence de problèmes de santé mentale au travail.

    L’intérêt de l’utilisation du modèle intégrateur de Dr Michel Vézina (1992) en plus d’expliquer le phénomène des problèmes de santé mentale au travail est aussi d’aider à la prévention de ces problèmes au sein de l’organisation.

    Le modèle intégrateur permet à une équipe de faire le lien entre les différents facteurs et la tension mentale, et de se questionner sur la présence ou l’absence de ceux-ci et des pistes de solutions à privilégier.

    Ainsi, l’identification des facteurs de risque organisationnels par les gestionnaires et les employés est la première chose à faire pour proposer des solutions en les modifiant, les contrôlant ou les éliminant. Des irritants peuvent être de l’ordre de la communication déficiente, de l’ambiguïté et de conflit de rôle; de surcharge de travail; de travail en situation de danger; de travail répétitif et monotone; de travail en relation d’aide.

    Une communication ouverte et empreinte de respect mutuel lors des réunions d’équipe; des description de tâches claires et des rôles précis en termes de responsabilité, de pouvoirs et de devoirs; des charges de travail équitables et raisonnables; un grand soucis de protéger son monde malgré certaines conditions de travail qui peuvent être difficiles; l’enrichissement de certaines tâches; l’accès à du support administratif et à un bon programme d’aide aux employés avec un volet prévention des problèmes de santé mentale sont des ingrédients gagnants pour créer et maintenir un bon climat de travail et ainsi diminuer les probabilités d’absentéisme.

    De plus, l’absence de facteurs de protection constitue de nouveaux risques à la santé mentale. Deux facteurs de protection majeurs sont le soutien social et l’autonomie décisionnelle. Le soutien social est défini comme l’aide et la collaboration des collègues et la reconnaissance du milieu.

    Le soutien social doit être cognitif en termes d’information nécessaire, tangible en termes d’équipements et émotif en termes d’échanges interrelationnels.

    L’autonomie décisionnelle est définie comme la possibilité qu’a un individu d’utiliser et de développer ses habiletés dans son environnement. L’employé peut ainsi accomplir des tâches qui lui donnent l’impression d’utiliser son potentiel, ses ressources, ses connaissances, son expérience et son jugement.

    Je maintiens que le soutien social offert par les membres de l’équipe et la reconnaissance par les supérieurs immédiats est primordial. Il faut bien se rendre compte que les travailleurs carburent à la valorisation et non seulement à la paie.

    L’autonomie décisionnelle va de pair avec la capacité des individus d’exercer adéquatement leur jugement professionnel. La personnalité, la formation continue et l’ancienneté au travail doivent permettre à chacun de déterminer sa zone de confort face aux décisions qu’ils peuvent ou non prendre. Une sorte d’accord tacite doit être établi à cet effet entre le supérieur immédiat qui peut déléguer avec confiance à ses subordo

Formations

  • École Nationale D'Administration Publique ENAP (Trois Rivières)

    Trois Rivières 1998 - 2002 Management public

    Management public
  • Université De Montréal UDM (Montréal (Québec))

    Montréal (Québec) 1973 - 1977 Psychologie clinique

Réseau

Pas de contact professionnel

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