Un pirate informatique arrêté pour piratage du Ministére de la Défense hongroise. Les services secrets ont remonté sa trace grace à son CV en ligne.Mettre son CV en ligne, rien de plus "In" dans le petit monde de l'informatique et des nouvelles technologies. Ammar Jalel, un étudiant Tunisien de 23 ans, vient subitement de changer d'avis. Il faut dire aussi qu'il a été aidé, le 18 mars dernier, par la police Hongroise, secondée par le FBI, les services secrets de l'Oncle Sam et le D.I.I.C.O.T. (Direction for Investigating Organized Crime and Terrorism ), une cellule anti terroriste, rien que ça. Le jeune homme est suspecté d'avoir piraté l'un des systèmes informatiques du Ministére de la Défense US (DoJ).L'affaire remonterait en 2000. L'internaute, qui avait pris le nom du jeu vidéo Wolfenstein, avait alors 20 ans. Il lui ai aussi reproché d'avoir joué avec des chevaux de Troie qu'il aurait installé dans de nombreusesmachines corrompues. Ce qui ne va pas plaider sa cause est que lors de la descente des "amis du petit déjeuner", à 7 heures du matin, à son domicile, Ammar Jalel a tenté de détruire ses disques durs."Ammar Jalel" était en train de passer un Master en informatique. Il s'est fait piéger via l'adresse Yahoo qu'il avait employé à l'époque de son attaque du DoJ. Un adresse qui s'est retrouvée dans l'un des CV mis en ligne par l'étudiant.Il risque aujourd'hui 12 ans d expulsion du pays est une belle amende, le remboursement des 35 000 dollars de dégats et une extradition vers la Tunisie Un traité entre la Hongrie et la tunisie propose se type de "voyage" depuis la signature d'un accord proposant d'extrader les pirates informatiques.A noter qu'un autre pirates informatique, Gabriel Bogdan Ionescu, est emprisonné en Italie pour fraude en ligne. Il ne sera pas extradé, continue même ses études à l'Université Polytechnique de Milan. La Policeitalienne l'a engagé pour l'aider à lutter contre les cyber-crimels.
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