Vers 1970, une étude de faisabilité d'une machine faisant de la reconnaissance vocale m'a posé le problème des complications surabondantes de notre orthographe, parce qu'il n'y a pas de logique simple entre l'identification d'un son et la manière de l'écrire
L'étude de ce problème m'a fait découvrir le pot-aux-roses d'une société capable de "détruire son école, sa jeunesse, sa langue, et son avenir dans le monde" (conférences de Joseph Maire, Dijon)
L'opération Ortograf a alors démarré comme UN JEU LOGIQUE, suivant la considération: "dans l'absolu, une orthographe qui consiste à écrire ce qui ne se prononce pas est totalement indéfendable".
La drôlerie du jeu est dans le fait que tout le monde croyait exactement le contraire. Dans la nécessité de se conformer tous à une même norme d'écriture pour communiquer correctement par écrit, tous les français entretenaient un véritable culte autour de l'orthographe la plus désastreuse du monde.
Il est alors particulièrement excitant de mettre en oeuvre les actions qui feront fatalement s'écrouler un jour cette fameuse forteresse Orthographe.
Les autorités concernées savent parfaitement que la réforme de l'orthographe peur être en réalité très facile, à la simple condition qu'elle soit précédée de l'actualisation la plus judicieuse possible de notre alphabet
Mais l'histoire est trop longue pour pouvoir être racontée ici, et il y en a une autre.
Ma deuxième passion tourne autour du fait que tous les chauffages traditionnels sont incompatibles avec une gestion rigoureuse des ressources énergétiques.
Même en l'absence de toute perte par déperdition d'énergie, autrement dit même avec un rendement de 100%, les chauffages traditionnels présentent des pertes par dégradation d'énergie, ou pertes entropiques, qui constituent un véritable gaspillage, puisque leur niveau se situe typiquement autour de 97% des ressources consommées dans le cas des chauffages électriques, et 95% des ressources consommées dans tous les chauffages par combustion.
La preuve de cette affirmation est immédiate dans le cas des chauffages électriques.
A consommation d'énergie électrique égale, une pompe à chaleur ordinaire fournit déjà 3 à 4 fois plus de chaleur qu'un chauffage électrique.
En outre, les physiciens savent bien que la meilleure pompe à chaleur imaginable aurait un rendement encore une dizaine de fois plus grand qu'une pompe à chaleur ordinaire, donc un rendement 30 à 40 fois plus grand que celui d'un chauffage électrique.
La différence de consommation entre un chauffage électrique et une « pompe à chaleur idéale » n'est pas due à une déperdition d'énergie, mais à une dégradation d'énergie.
La transformation d'énergie électrique en chaleur est une dégradation d'énergie, autrement dit une production d'entropie. Et toute production d'entropie va de pair avec une perte de ressources énergétiques
La cocasserie des pertes entropiques est alors dans le fait qu'elles peuvent ainsi devenir évidentes pour le public le plus large, tandis que des jargons mousseux et inconsistants qui foisonnent par ailleurs sur la grandeur entropie montrent de toute évidence que leurs auteurs n'y ont rien compris
Les pertes entropiques représentent typiquement 97% des ressources consommées dans le cas des chauffages électriques, 95% dans le cas des chauffages par combustion, et encore 90% dans le cas des pompes à chaleur.
Le seul chauffage qui minimise vraiment les pertes entropiques, c'est le chauffage par cogénération, c'est à dire par production combinée de chaleur et d'électricité. La chaleur est alors un sous-produit gratuit de la production d'électricité.
Les silences des médias sur la facilité de réformer l'orthographe, comme aussi sur la nécessité de développer la cogénération amènent alors à produire une troisième catégorie d'articles, se rapportant, eux, aux problèmes de désinformation, de fonctionnement politique, de société, et de corruption.
Mes compétences :
Cogénération
Orthographe
Enseignement
Politique
Environnement
Économie d'énergie
Réforme de l'orthographe
Actualisation de l'alphabet
Gaspillages entropiques
Clairvoyance de l'int�r�t g�n�ral
Aptitudes relationnelles