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Top Semence
- Technicienne de cultures
2017 - maintenant
Suivi de cultures fourragères et pois chiche en production de semence et mise en place d'essais expérimentaux.
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Wanaka (Drone agricole)
- Technicienne
2017 - 2017
Suivi d'un réseau de pièges à insectes dans les cultures de colza et des pratiques agricoles, afin de mettre en place un modèle de prévision d'attaques des ravageurs.
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Eurofins Group
- Assistante expérimentateur
2016 - 2016
--> Mise en place et suivi d'essais BPE et BPL selon des modes opératoires normalisés.
--> Évaluations de l’efficacité des produits (herbicides, fongicides, biostimulants…) sur diverses cultures (céréales, cultures légumières, arbres fruitiers...).
--> Échantillonnages de cultures et de sol.
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Chambre d'Agriculture de Haute-Saône
- Stagiaire Ingénieure (Mémoire de fin d'études)
2015 - 2015
--> Diagnostic du protocole expérimentale et réadaptation au protocole national,
--> Création d'un questionnaire "pratiques agricoles" et réalisation des enquêtes (21 exploitations),
--> Conduite de l'expérimentation (mesures de biomasse, identification floristique...),
--> Analyses des données, synthèse des résultats et proposition de leviers d'action pour l'étude.
Caractérisation agronomique et écologique des prairies permanentes des plaines de Haute-Saône.
Résumé: La surface des prairies permanentes en Haute-Saône tend à diminuer en partie à cause des évolutions agricoles. Pourtant les prairies permanentes ont de nombreux atouts tant sur le plan économique qu’environnemental. Ces prairies ont notamment un rôle essentiel dans la conservation de la biodiversité. Afin que les surfaces ne régressent plus, un groupe d’agriculteurs a souhaité engager une réflexion sur la valorisation économique/agricole et écologique des prairies permanentes à fort potentiel de biodiversité menant à un programme CASDAR. Cette première année d’étude a permis de caractériser en partie les prairies des plaines de Haute-Saône. La valeur agronomique et la valeur environnementale ont été analysées en effectuant des mesures de production de biomasse, de valeurs alimentaires et de la richesse spécifique floristique sur 33 parcelles. Les valeurs obtenues ont été confrontées entre elles puis aux pratiques et aux conditions de milieu. Il en résulte que les conditions de milieu peuvent avoir un impact important sur la diversité floristique et que de fortes dépendances pratiques/conditions de milieu existent. Les relations entre la valeur environnementale et agronomique ne sont pas toujours négatives. Ce qui laisse présager une possibilité d’avoir de bons niveaux de production tout en maintenant un niveau moyen de diversité floristique. L’échantillon actuel ne permet pas de tirer des conclusions définitives et ne facilite pas la discrimination des prairies. L’échantillonnage doit être retravaillé et les résultats doivent être approfondis.
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AGROSUP DIJON et VIVEA
- Conduite d'un projet commandité par un professionnel
2014 - 2015
Analyse des besoins en compétences des viticulteurs en Bourgogne.
Résumé: L'objectif principal de ce travail est de comprendre les raisons qui font que les viticulteurs bourguignons se forment moins que les autres agriculteurs. Cette demande, formulée par VIVEA et la Chambre d'Agriculture Régionale de Bourgogne, s'inscrit dans une dynamique d'amélioration des formations proposées en viticulture. Dans cette optique, le projet a consisté à mettre en évidence les besoins en formation des viticulteurs et les freins qui font que certains viticulteurs ne peuvent pas se rendre en formation. Ce travail s'est déroulé pendant une durée de quatre mois. Cette période a débuté par l'élaboration d'un questionnaire, puis par la constitution d'un échantillon de viticulteurs à enquêter, à partir de variables fournies par VIVEA. La détermination de l'échantillon a été faite par une méthodologie par stratification, qui a permis d'établir une typologie a priori de viticulteurs à interroger. Une fois les entretiens terminés, les réponses obtenues suite au questionnaire ont été analysées par une méthode pas à pas, c'est-à-dire basée à la fois sur les ressentis et les réponses données par les viticulteurs.Après avoir enquêté 45 viticulteurs par téléphone, il a été mis en évidence des variables significatives. Celles-ci ont permis de définir une typologie des viticulteurs (chefs d'exploitation et contributeurs VIVEA) à partir des freins qui les empêchent d'aller en formation. Les Intouchables (qui n'expriment pas de besoins et qui n'ont aucune envie de participer aux formations), les Exigeants (qui ne viendront que pour des formations courtes et précises), les Cibles (qui expriment des besoins, mais rencontrent des contraintes organisationnelles qui limitent leur participation à des formations), et les Habitués (qui viennent régulièrement en formation et ne rencontrent aucun problème pour s'y rendre) ont été identifiés. Suite aux entretiens, il a été possible de dégager, par type de viticulteurs, leurs besoins en formation, et ainsi formuler quelques recommandations et pistes d'actions pour améliorer l'offre de formation proposée actuellement.
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MTT Agrifood Research, Laukaa, Finland
- Stage de recherche sur le biocontrôle du fraisier
2014 - 2014
--> Conduite d’un essai sur le contrôle biologique sur fraisiers - Contrôle de la stèle rouge du fraisier par l'inoculation de micro-organismes et l'utilisation de compost,
--> Mesures agronomiques et entretiens des plants,
--> Analyses statistiques des données et synthèse des résultats,
--> Renouvellement d’une collection de mycorhizes,
--> Manipulations en laboratoire de culture in vitro (micropropagation) et en serre.
Contrôle de la stèle rouge du fraisier par l'inoculation de micro-organismes et l'utilisation de compost.
Résumé: Les fruits rouges, notamment les fraises font partie intégrante de l'alimentation des finlandais. Depuis 2012, l'agent pathogène Phytophthora fragariae var. fragariae responsable de la Stèle rouge du fraisier est apparu en Finlande. Des alternatives aux fongicides sont étudiées afin de limiter leur utilisation. C'est dans cette optique que nous avons étudié l'inoculation de microorganismes et l'ajout de compost qui peuvent avoir des effets suppressifs sur cet agent pathogène du sol. Un champignon mycorhizien arbusculaire (Rhizophagus intraradices), une bactérie endophytique (Pseudomonas aeruginosa) et un champignon antagoniste (Gliocladium catenulatum) ont été testés séparément en absence et en présence de compost. Ils ont été inoculés à des microplants de fraisier, Fragaria x ananassa, variété "Jonsok". Ces organismes ont aussi été comparés à un fongicide, le potassium phosphite. Des observations et des mesures sur la croissance et le développement des plants ont été faites durant 9 semaines et/ou lors de la dernière semaine afin d'observer le développement de la maladie. Cependant, aucun symptôme de cette dernière ne s'est manifesté. L'impact des microorganismes et du compost sur la maladie n'a pas pu être étudié. Alors qu'un impact dû à la présence de compost et à l'utilisation de potassium phosphite a eu un effet significatif sur la croissance et le développement des plants de fraisier. Le fait que la maladie ne s'est pas déclarée est peut-être dû en partie à une présence trop peu importante des oospores de l'agent pathogène dans le sol qui a été inoculé.
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SERFEL
- Stagiaire Technicienne de recherche
2012 - 2012
--> Conduite d’un essai sur irrigation fertilisante et bas intrants en vergers de pêchers déclenchement de l'irrigation et de la fertilisation, gestion de la récolte, collecte des résultats sur le terrain),
--> Mesures agronomiques sur les fruits (poids, calibre, fermeté, taux de sucre, acidité),
--> Participation aux essais variétaux,
--> Analyses statistiques et synthèse des résultats.
Étude comparative entre une irrigation fertilisante et une fertilisation classique au sol.
Résumé: Il a été constaté qu’en Crau, les rendements en pêches sont supérieurs qu’en Costières de Nîmes alors que les conditions pédoclimatiques sont sensiblement les mêmes. La grande différence entre ces deux régions est le système d’irrigation mis en place et donc le mode de fertilisation utilisé. En effet, la Crau a une ressource en eau limitée donc l’eau est distribuée par un système de goutte à goutte ainsi la fertilisation se fait par irrigation. Pour les Costières de Nîmes, l’eau est apportée par aspersion et la fertilisation par épandage. La Serfel a donc mis en place un essai qui a pour objectif de comparer l’efficacité d’une irrigation fertilisante en microjets à une fertilisation classique au sol par épandage. Pour cela quatre modalités ont été mises en place et comparées. Pour chaque modalité, la quantité d’engrais est la même, seule la méthode de fertilisation change. Cet essai s'est fait sur deux variétés de nectarines : Diamond Bright et Beryl® Monrose. Lors de la récolte ont été observées les «conséquences » agronomiques des modalités mises en œuvre. Le calibre des fruits, leur taux de sucre, leur acidité, leur fermeté, leur poids et les rendements obtenus ont été mesurés. Une mesure des gourmands a aussi été réalisée après une taille en vert pour mesurer la vigueur des arbres. Depuis 2007, il semblerait qu’il n’y ait aucune différence statistiquement significative entre les modalités mais des tendances. En effet, la modalité 1 (épandage manuel) semble donner un bon rendement et des fruits plus sucrés alors que la modalité 4 (irrigation fertilisante) semble donner des fruits plus acides et des arbres plus vigoureux.
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EARL du Garmois, Blaisy-bas (21)
- Ouvrière agricole en exploitation de polyculture élevage ovin et maraîchage
2012 - 2013
Stage 6 semaines
--> Alimentation et soins apportés aux ovins,
--> Entretien et vente des produits maraîchers,
--> Analyse du fonctionnement globale de l'exploitation.
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Le jardin de Flore, Eyguières
- Ouvrière agricole en exploitation horticole
2011 - 2011
Stage de 3 semaines
--> Rempotage, bouturage, entretien et surveillance des plantes.