Après avoir effectué une licence en sciences de l'information et de la communication, puis un master axé sur les sciences de la documentation qui m'a permis de développer, entre autre, une expertise certaine en matière de gestion des données numériques, j'ai eu la chance de réaliser un stage professionnel de qualité avant d'obtenir un poste en CDD extrêmement formateur. De janvier à juillet 2015, j'ai fait mes premiers pas en tant que documentaliste de presse au sein du service documentation texte du quotidien L’Équipe. Travailler pour de grands journalistes sportifs en leur concoctant par exemple des dossiers documentaires était un rêve, j'en ai fait une réalité. Le travail intense et exigeant que j'ai fourni pendant 4 mois a payé puisque le journal m'a accordé une prolongation de mon stage de fin d'études d'une durée de 2 mois. J'ai donc passé une demi-année au service de l'un des titres de presse les plus lus en France. Me retrouvant malgré tout sans activité à la mi-juillet, je craignais que mon été ne s'éternise. Heureusement, et grâce à une recherche de tous les instants, ce ne fut pas le cas. Le 14 septembre, j'étais embauché chez Serda, une entreprise spécialiste de l’organisation de la mémoire et du savoir, comme rédacteur pour deux de ses quatre entités, à savoir : le magazine Archimag, et le cabinet de conseil Serda. Aussi, 4 mois durant, j'ai écrit, écrit et encore écrit. Avec du recul, je m'aperçois que cette première expérience revêt globalement les caractéristiques d'une formation professionnelle continue aux différentes techniques de rédaction. Une formation efficace, d'autant qu'elle est intervenue comme un prolongement logique de mon stage en documentation. Même si le domaine de la gestion de l'information m'était relativement familier lors de mon arrivée, je ne m'attendais pas à devoir écrire sur des sujets aussi divers, complexes et techniques (Open Data, dématérialisation des factures, systèmes d'archivage électronique, gouvernance de l'information, etc.). J'ai donc dû faire appel à mes qualités de documentaliste pour les maîtriser rapidement. Le fait de devoir m'informer et informer sur de ces thèmes m'a obligé à composer sur un terrain qui aurait pu s'avérer glissant. Mais je ne suis pas tombé. Mieux, j'ai vite su remplir les tâches qui m'étaient confiées. Évidemment, tout n'a pas été parfait, mais le travail que j'ai abattu a su convaincre mes chefs de mon implication. Une fois le journaliste que j'ai tenté de remplacer du mieux possible revenu, ma mission s'est terminée. Adorant écrire, autant que rechercher et traiter l'information, je me considère aujourd'hui comme un jeune et sympathique monstre à deux têtes : un genre « d'archéologue du présent 2.0 » doublé d'un bon rédacteur. L'univers de la rédaction (journalistique) étant intimement lié à celui de la documentation de presse, il serait dommage de devoir choisir entre l'une des parties de la double casquette que je suis heureux de porter.
Mes compétences :
Communication interne/externe
Traitement de l'information
Rédaction professionnelle
Esprit d'analyse
Bonne culture générale
Pas de contact professionnel