BOURGOIN
Michael Gide-Rose très tôt placé dans un orphelinat va subir durant de nombreuses années, le courroux d'une nonne. Ses tentatives d'évasions vont le mener de la pièce d'isolement de l'orphelinat à celle des hauts murs d'une maison de redressement. Ici, à l’orphelinat, de son vrai nom "Les Saints Anges de la miséricorde" ce sont les sœurs qui dictent les lois et gare à celui qui tente de jouer la forte tête, la punition tombe immédiatement et sans préavis. La maison de bienfaisance, comme nous l’appelons, est dirigée de mains de maître par des religieuses.
Pas de formation renseignée