MARSEILLE
Mes différentes expériences m’ont permis d’acquérir une véritable expérience dans la prise en charge psychologique individuelle et collective, avec ou sans médiation, d’adolescents et jeunes adultes confrontés à diverses problématiques tel que notamment : la (poly)toxicomanie, l’exil, la migration, les ruptures sociales et/ou familiales, les traumatismes de guerre ou encore les comportements dits « antisociaux ». Ces expériences m’ont également permis de construire une clinique appropriée à la prise en charge de patients confrontés à différentes pathologies somatiques et/ou psychiques ainsi qu’à l’accompagnement psychologique des familles.
Ces différentes expériences cliniques, associées à mon expérience comme formateur ainsi que celle en communication des entreprises me permettent à ce jour d’assurer à la fois une véritable capacité de travail en équipe pluridisciplinaire et d’une expérience certaine dans les problématiques institutionnelles.
Recherches antérieures :
2015-16 : Du semblant au simulacre : le malentendu ou pire ?
Empruntée à la philosophie antique, nourrie des oeuvres littéraires de Pierre Klossowski, la notion de simulacre participe - dans la pensée de Deleuze - au renversement du platonisme et à la ré-interrogation de la métaphysique. Ce travail a pour objectif de questionner cette notion à la lumière de la psychanalyse et plus spécifiquement son rapport à la notion de semblant dans la pensée de Lacan.
Afin de questionner la nature du Christ et la fonction de l’eucharistie dans le christianisme occidental (catholicisme et protestantisme), ce travail interroge différents points : Quels rapports entretiennent la métaphysique et la psychanalyse ? Le concept de simulacre nous conduit-il à devoir reconsidérer la notion de vérité ? La structure (névrose, psychose ou perversion) serait-elle une réponse destinée à faire cesser l’hésitation questionnante de la « DifférAnce » ? Le simulacre est-il l’incarnation d’une perversion élémentaire ?
2014-15 : De l’Eglise romaine au luthéranisme, lucidité mélancolique, héros christique et simulacre ?
Peut-être peut-il paraître étrange de s'intéresser à la religion et a fortiori à la théologie depuis le prisme de la psychanalyse, mais il nous faut avancer ici un point sans détour à la suite de Freud et Lacan : parler du fait religieux, c'est parler du sexuel et de la mort. Il nous faut bien voir et entendre que ce que viennent murmurer ces représentations religieuses sont des histoires d'érotisme et de mort ; ce que travestit le champ religieux pour mieux le dévoiler, c'est ce que la psychanalyse met à jour, c'est-à-dire la violence du sexuel, l'effraction faite par la vie dans la mythique quiétude de celui qui naît.
2013-14 : Violence et communautés religieuses
Ce travail de recherche s'intéresse et questionne la violence religieuse comme témoignage d'un vécu groupal et individuel.
Mes compétences :
Relations Presse
