Dès lors que vous avez accepté comme une faveur la demande qu'on vous a faite, vous devez prendre sur vous pour vous en acquitter, quoi qu'il vous en coûte…
Quant on demandait quelque chose autrefois, ils pesaient d'abord s'ils étaient capables de s'en acquitter, et si ce n'était pas le cas, ils déclinaient la demande. Même s'ils pensaient en être capables, ils n'acceptaient d'en prendre la responsabilité qu'après mûre réflexion. Ainsi, tout ce qu'ils avaient accepté était mené à bien sans erreur.
– Bushidō Shoshinshû, Taïra Shigésuké (~1700)
Voir aussi : http://aiki-luc.olsc.org
Mes compétences :
Conseil
Assistance à maîtrise d'ouvrage
Gnu/linux
Formation
Réseaux IP