AMANCY
Ma devise : faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux.
Passionné et pratiquant le sport depuis longtemps, j'ai développé un esprit d'équipe en tant que joueur, arbitre ou entraineur, au hand ball pendant 22 ans, puis je me suis lancé dans la course à pied jusqu'à faire des marathons ...surtout au Médoc!
Loisirs : ski de piste, ski de rando, marche et raid en montagne, parapente, moto, footing, yoga et méditation, lecture, ...
Le sport aide à développer des qualités personnelles -esprit d'équipe, ténacité, persévérance dans l'effort, opportunisme, gestion du stress,... - mises à profit dans la vie de tous les jours et notamment dans le travail.
Je suis, à ce jour, responsable du développement commercial d'une société de maintenance en chauffage, ventilation, climatisation et Facility Management (FM Hard Services) en Suisse Romande pour des montants de contrats allant en moyenne de 10'000 CHF à plus de 10 MioCHF.
Limiter la sur-consommation est le grand défi de nos sociétés occidentales dès maintenant et dans les prochaines décennies. Il va falloir apprendre à se contenter de ce que l'on a et ne pas en vouloir plus toujours. Vivre avec son temps est important mais ne pas se laisser manipuler par la société de consommation est un grand pas vers la prise de conscience de ce défi. Soutenir les "indignés", s'indigner soi-même contre un système qui s'emballe et qui a atteint ses propres limites, qui s'est pris pieds dans le tapis qu'il a lui même confectionné, voilà le mouvement actuel de la société.
Ce n'est pas parce qu'un pays est riche suivant les critères de Dun&Bradstreet et consort que les gens qui composent ce pays sont heureux de leur vie.
A chacun de répondre à cette question cruciale : "c'est quoi le bonheur pour moi, au point où j'en suis" puis quelques années après de se souvenir de cette réponse afin de comparer, si les objectifs de "bonheur" sont atteints, les états d'âmes dans lesquels on se trouve au regard de la situation matériel.
A mon avis le bonheur réside plus dans les relations humaines que l'on a, avec soi-même en tout premier lieu, et avec les gens que l'on croise aux détours de rencontres que l'on peut trouver fortuites et qui ne le sont peut-être pas...
Je propose à mes lecteurs d'adopter la théorie du colibri : “Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : - Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? - Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part...”
A chacun de faire sa part du travail pour construire le monde tel qu'on le souhaiterait et pas tel que la société nous a poussé à le faire ou plutôt que nous nous sommes laissés influencé par la société.
Je vous invite à partager cette lecture http://www.colibris-lemouvement.org/index.php/TH
Je vous souhaite une bonne indignation et surtout une bonne construction !
Mes compétences :
Commercial
maintenance
achat
Développement commercial
