Denis Rouquette, ma vie mon oeuvre
Emploi permanent non rémunéré : Pacha de Monbadon
Poste attaché (par pinces agréées du ministère de l'intérieur) : Professeur au Collège de France, rue des Ecoles Paris - titulaire de la chaire à saucisse
Formation (du 24 mai 1954 au 30 mai 1968) :
Par interim, par intermittence et en alternance à "Supérieure Nationale de la Charcuterie Fine" (SNCF) chez les cathos de gauche de Sainte Marie des Petits Pieds de Jésus de Gonzague de Beau-Con
Diplômes :
Docteur en charcuterie fine – mention très bien avec félicitations du jury
Mercure d'or en langue sauce piquante et Chamois d'argent du pied de veau en gelée
Master Bananes Andouilles (MBA) au Catholic Vire's Institute of Andouilles-Bananes (CVIAB)
Activités et associations :
Grand Maître de la Triperie de Graye sur mer (Tripes's District of Caen - TDC)
Professeur invité en fabrication teutonique et cyclotronique de Frankfurter Würstchen (saucisses de Francfort) à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich (ETHZ)
Maître assistant à l'Institut Catholique de Gauche de Saint Avold (ICGSA) - directeur de thèse en chirurgie liturgique et plastique, tac, et toque d'or du Courte Paille de Bouchemaine
Professeur-Théréza Honoraire d'ouverture au public - spécialité saucisson à l'ail - Massachusetts Institute of Technology (MIT)
Conférencier international en lard et gras double, notamment à la NASA, Houston, Amérique du nord et à la Communauté Urbaine d'Angers-Lyon (69, année érotique)
Mon projet :
Je suis beau et très intelligent.
On s'accorde à le dire.
Bien que je sois un peu con sur les bords mais assez doué pour la bricole, je compte bien devenir un jour très riche en dollars grâce à ma saucisse au goût savoureux.
Je mettrai tout en oeuvre afin de devenir plus riche que ces rats d'égout composant les familles Billard von und zu Besançon, tous ces dégénérés issus de germains collaborateurs, du genre planqués à Besançon en juin 40, et surtout plus riche que cette pouffiasse de Nicole Billard qui a renié son nom et qui ne rêvait que d'une chose, à savoir coller ma mère, Renée Emilienne Suzanne Cavelius (2 octobre 1914 - 4 juillet 1999) qui avait le grave défaut d'être juive, dans un haut-fourneau d'une aciérie de Saint Avold, à la manière de Kurt Franz lorsqu'il opérait à Treblinka.
De surcroît, je me damnerais volontiers pour récupérer les tableaux que mon père Daniel Rouquette (1er août 1913 – 23 novembre 1985) a peints entre 1930 et 1939, en somme la quasi totalité de ses oeuvres, que Jean Billard, ingénieur diabolique de l'Ecole Polytechnique, prince des monte en l'air et de la cambriole, surnommé le "Mandrin de Besançon ou encore le "Rocquencourt des mines", a dérobés pour les accrocher sur les murs de ses nombreuses demeures avant de les "léguer" à son fils Philippe Billard - ce dernier s'est suicidé après avoir passé une année dans une prison française pour avoir abusé de la confiance d'une vieille personne en plein désarroi en vue de lui dérober (lui aussi, décidément c'est de famille) son patrimoine en ayant utilisé son pouvoir hypnotique et satanique de médecin pour le coucher sur son testament (ndlr).
Pas de formation renseignée
Pas de contact professionnel