Merci à vous de m'encourager. Par ces temps curieux, je dis grand merci. Ce n'est pas mon fief d'accumuler. Certes je pourrais être riche en pièces et billets, ect. Pour l'heure, je me berce avec l'idée de rejoindre ce que j'aime : les jardins, la botanique... et pourquoi pas à mes 60 ans réussir dans cet exercice. J'aurais pu être riche mais ça n'a pas été mon ambition. De-là j'ai parfois fait n'importe quoi pour voir, expérimenter et par souffrance et dépit, j'en ai fait des bêtises ! C'est peut-être la curiosité de cette vie et cette horreur de famille qui m'a tout piqué (héritage) et surtout sans amour qui m'a conduite à faire rédition c-a-d oublier ces gens. Penser qu'un sourire, une façon de dire ou de faire puisse fonder l'imagination de la joie de quelqu'un d'autre me fait plaisir. "C'est aux petites choses qu'on reconnait un peuple", me disait une vieille dame du quartier. Mais si, dans mon caractère, je pense toujours à l'autre, il me faut penser à moi aussi. Prendre ce qui est légitime à l'autre, par jalousie par exemple, comme ce qui m'est arrivé de cette famille, c'est comme le cancer de ceux qui le propagent : l'envie, la jalousie, la trésorerie... Mais ces gens sont seuls au volant d'un bolide destructeur et ridicule à mon sens. Il font pipi comme moi; il doivent se nourrir pour leur corporel; riches, ils ont réservé leur place dans un cimetière en plus avec une chapelle ! Moi non. Ces gens, vous en avez plein les poubelles aujourd'hui. Dans cette condition humaine, née un 1er avril 1955 à 14H45, j'ai bénéficié d'une période clémente avec mes parents, sauf leurs deux haînées, enrichies par excès de non assistance et violences pour prendre à l'autre. Cet autre c'était moi. Celui que j'aime est ennuyé par le corporel (cancer bronchique). Je fais comme je le peux pour lui prodiguer ce qui lui fait plaisir et soulage. Un corps, c'est peut-être comme les plantes, les arbres; il est bon de prodiguer de l'amour. Je n'ai pas la recette mais expérimente. De "grosses rentrées" ah! et si c'était comme ça, étant dans mon esprit d'échange, je m'intéresserais aux jeunes pousses qui ont besoin d'exister. Par exemple, des jeunes qui, par manque de dialogue et d'empathie, d'éducation, ect. finissent dans la délinquance, la drogue et la souffrance. "Mère Thérésa" est un grand exemple d'humanité. Faire découvrir les trésors et le bonheur de partager les jardins, l'histoire et la beauté du terrestre à des plus jeunes que moi. Imaginer captiver l'attention de ceux qui se sentent ou sont délaissés par un système qui ne leur correspond pas. Oui, je serai peut-être une seconde fois "monitrice". A 15 ans j'étais chargé par la FFT de transmettre l'esprit du tennis à des enfants de 10/12 ans . Certes, j'ai fait travailler des plus petits que moi mais je n'avais pas grande autorité. 2 années je l'ai fait - les jeudi et samedi. Certains enfants me trouvaient et d'autres non. Il a fallu que je m'en débrouille avec ces différences. Mes salutations, Solène
Pas de formation renseignée