Paris
Après une première année de licence Biologie, Géologie, Chimie (BGC à Saint-Etienne), j’ai décidé de m’orienter de manière de plus en plus spécifique vers la biologie végétale et la génomique. J’ai ainsi terminé ma licence en Biologie des organismes (tant animale que végétale) avant d’intégrer le master Biologie et Environnement spécialité Génomique, Ecophysiologie et Production Végétale à Clermont-Fd. J’ai ainsi acquis des compétences en agronomie en plus d’avoir approfondi mes connaissances en biologie végétale et génomique.
J’ai aussi eu la possibilité de conserver dans mon cursus une part de mathématiques, notamment statistique, que je trouve très importante dans le domaine de la recherche.
Durant mon cursus, j’ai eu la possibilité de faire deux stages de recherche :
- Le premier en master 1 (3 mois) à l’UMR-PIAF de Clermont-Fd sur l’évaluation du potentiel adaptatif du complexe de sous espèces de pins noirs en réponse aux changements climatiques. J’ai ainsi développé mes capacités en génomique (PCR, Génotypage) afin de déterminer des marqueurs moléculaires de résistance à la sécheresse sur un ensemble de sous-espèces de pins noirs issus de toute l’Europe. Il s’est avéré que le lien entre phénotype et génotype de la résistance à la sécheresse était difficile à mettre en relation. En effet, un certain nombre d’individus au sein d’une sous-espèce ont montré un génotype similaire à d’autres individus au sein d’une autre sous-espèce.
- Le second en master 2 (6 mois, en cours) à l’INRA-PIAF de Clermont-Fd sur la caractérisation des lois de réponse à la température des bourgeons de quelques espèces ligneuses, pour le débourrement et la résistance au gel m’a permis de découvrir le domaine de l’écophysiologie et de la modélisation qui m’étaient jusqu’alors inconnus. Les résultats acquis au cours de ces 6 mois visaient à vérifier la généricité de certains modèles de débourrement et de sortie d’endodormance sur des espèces forestière, jusqu’alors peu caractérisées, ainsi qu’à définir les cinétiques de réaction de celles-ci pour un certain nombre de paramètres (taux de sucres, résistance au froid (LT 50) au cours de l’année, évolution de la vitesse de croissance dans une gamme de température (de 2 à 25 °C)). Nous avons ainsi caractérisé un ensemble de 11 espèces (pin sylvestre, chênes pédonculé et sessile, hêtres précoce et tardif, mélèze, merisier, pêcher, noyers franquette, tardif et précoce).
Mes compétences :
Génomique
Statistiques
Génétique
Biologie cellulaire et moléculaire
Amélioration et sélection végétale
Qgis
Microsoft Office
Rédaction
Cartographie SIG
Gestion de projet
