Je m'étais d'abord prédestinée à la médecine mais mon mode de pensée n'a jamais vraiment été orienté dans les sciences dures, je me suis donc dirigée vers un baccalauréat littéraire et me suis passionnée de philosophie. Par la suite, j'ai compris que l'étude de la psychologie serait probablement le meilleur compromis possible entre la médecine et la philosophie et je me suis donc inscrite dans cette filière à l'université.
Dès la première année de licence, j'ai compris que j'avais choisi la bonne filière et que je pourrai ensuite m'épanouir dans le métier de psychologue car je me suis toujours énormément questionnée sur le comportement humain, tant de manière globale (sociologie, étude des genres, neurociences, psychologie cognitive, etc.) que de manière individuelle (développement, histoire, souffrance, mécanismes de défense, inconscient, etc.).
Par la suite je me suis davantage spécialisée en psycho-criminologie car tout ce qui relève de la transgression, du passage à l'acte, des comportements dits "déviants", etc. m'intéresse bien davantage encore que tout le reste.
De plus, cela me permet d'avoir une approche très large de mon métier car les infractions s'inscrivent autant dans le collectif que dans l'individuel. En effet, elles sont à la fois une atteinte à la société et un message de la part d'un sujet, elles posent autant question sur l'histoire d'un individu que sur la réponse collective qui doit lui être apportée.
Enfin, la criminologie est au carrefour de plusieurs disciplines et me permet donc de découvrir plusieurs domaines, notamment le social, le médical et le judiciaire, et cette collaboration au sein des disciplines vers un but commun correspond tout à fait à mes méthodes de travail et à ma façon d'envisager le monde professionnel.
Mes compétences :
Informatique