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Brigitte Bordes Photographe
- Photographe
maintenantJe photographie la région Midi-Pyrénées dans ses aspects les plus divers, collabore avec le Conseil Régional, des agences de communication, des cabinets d’architectes. Je propose également son expérience aux particuliers. "On fait appel à moi pour une façon de voir. Un mariage, par exemple, est comme un défilé de mode, avec de belles choses, une ambiance toute particulière, emplie d’émotion."
Mon rapport avec les personnes photographiées est primordial. Je suggère à peine les poses à ses modèles. Je me réserve pour une observation attentive.
Je n’impose rien.
"J'aime ce métier car la photo mène à tout, permet d’entrer dans tous les univers plus ou moins accessibles. C’est un prétexte pour aller à la rencontre des autres et réaliser des rêves d’enfant comme, par exemple, monter sur le toit de l’Opéra de Paris ou pénétrer les coulisses secrètes des grands couturiers…"
Mon retour à Toulouse a coïncidé avec le grand boom de la technologie numérique. Je suis alors des formations pointues afin d’adapter mes connaissances techniques et maîtriser les outils numériques. "Le regard, le travail de mise en valeur d’une photo avec l’argentique ou le numérique sont les mêmes. Seuls les outils changent…"
Grâce au numérique, mes clients peuvent, maintenant, choisir et composer eux-mêmes leurs albums, s'ils le veulent. La photographe leur donne les outils pour qu’ils s’approprient leurs photos.
La qualité du matériel utilisé est primordiale. Je travaille avec des appareils reflex numériques et toute une gamme d’objectifs Canon : un matériel capable de s’adapter à toutes les situations en produisant des images de grande qualité.
Brigitte Bordes Photographe
- Photographe de mode à Paris
maintenantJe découvre la photographie dans une école toulousaine. À 20 ans, je m'installe à Paris et intègre le laboratoire de l’Agence VIVA. Une expérience qui influencera mon regard d'artiste et ma carrière.
Mon premier reportage personnel a pour sujet les femmes enceintes. Même si, à l'époque, cela ne se fait pas, ses modèles et nous décidons d’un commun accord, sans préméditation, de la nécessité du nu. J' obtiens ma première publication et la reconnaissance de mes pairs, sans oublier une bourse de la Mairie de Paris qui m' ouvre les coulisses de la haute-couture.
Sur ma route, je rencontre des personnages remarquables, comme Jean-Jacques Picard, l’attaché de presse de Christian Lacroix, qui me fait entrer dans l’atelier. J' assiste à la préparation des collections. "Il m’a ouvert son univers, à une époque où les collections étaient archi protégées jusqu’au moment du défilé. En me permettant de photographier toute la partie confidentielle, c’était un précurseur."
Mon reportage couvre plusieurs saisons. En 1987, il est présenté au Centre National de Photographie à Paris.
Franca Sozzani, la rédactrice en chef du Vogue Italie et grande prêtresse de la mode, me remarque et me contacte aussitôt pour une collaboration. "Alors que j’étais encore très jeune, Franca Sozzani m’a mise en situation de grand photographe de mode. Elle m’a fait confiance et m’a permis d’entrer dans la cour des grands."
Pendant près de 15 ans, j' enchaîne des reportages sur la danse contemporaine et la haute-couture. Vogue Italie mais aussi Libération, Le Monde, Gap Japon, Vogue Homme me demandent… Parallèlement, je crée, avec une journaliste japonaise, Le Centre de Documentation des Arts et de la Mode pour l’édition de cahiers de tendances.