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CNAM
- Maître de conférences
Paris
2009 - maintenant
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CEA Saclay
- Post-doctorante
Gif-sur-Yvette
2008 - 2009
Graphènes ancrés pour micro et nanocontacts électriques
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ESPCI
- Post-doctorante
2007 - 2008
La microscopie électrochimique (SECM) est basée sur le déplacement d’une microsonde électrochimique au voisinage d’une interface. L’un des aspects essentiels de la SECM réside dans la dualité de son utilisation : cette technique permet non seulement la caractérisation d’interfaces mais aussi la modification locale de surface. Nous souhaitons mettre à profit ce deuxième aspect afin de couvrir localement un substrat, ici l’or, le verre ou le silicium, par des polymères.
Pour ce faire, nous greffons un amorceur de polymérisation radicalaire (ici l’ATRP : Atom Transfer Radical Polymerization) sur le substrat. Ensuite, par le biais d’une microélectrode mobile placée au voisinage de la surface, la couche d’amorceur est réduite sur quelques centaines de micromètres afin d’inhiber la polymérisation. Ces substrats sont ensuite engagés dans une première réaction de polymérisation.
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Université de Rennes 1
- Doctorant en Chimie
2004 - 2007
Le greffage covalent de monocouches organiques denses et organisées à la surface d’un semiconducteur, tel que le silicium, a montré un intérêt croissant pour le développement d’édifices utilisables en électronique moléculaire, photovoltaïsme et détection.
La fonctionnalisation des surfaces de silicium peut être réalisée selon différents procédés s’inspirant de la chimie organique classique. A coté des réactions de silanisation démarrant de surfaces oxydées, la voix la plus courante est l’hydrosilylation. Elle permet d’obtenir des interfaces silicium – molécule possédant les meilleures propriétés électroniques (densité d’états électroniques comparable à celle des surfaces de silicium hydrogéné) ce qui les rendent intéressantes pour différentes applications. Partant d’une surface hydrogénée atomiquement plane, des alcènes ou des alcynes peuvent être greffés directement et de manière covalente sur le silicium par réaction d’hydrosilylation.
Mes travaux de thèse se sont inscrits dans cette thématique, grâce à l’élaboration de différentes monocouches possédant des groupements terminaux à propriétés spécifiques, ainsi que leur caractérisation (AFM, XPS, angle de contact, ellipsométrie).
