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Friedhelm Silvio MALBURG

LIÈGE

En résumé

Il y a 25 ans, au Etats-Unis, je travaillais dans l'hôtellerie. Suite à ma rencontre déterminante avec les Amérindiens, j'ai développé ma pratique en soins énergétiques. Pendant un soin, j'ai eu la forte intuition de suivre une formation en respiration dont j'avais entendu parlé. J'ai vécu de fortes expériences. Mais surtout, j'avais trouvé ma voie. Depuis fin '99 j'anime des conférences, des ateliers et des groupes de travail sur la respiration consciente en Belgique. Depuis ces années, j'ai développé une approche tout aussi intuitive que technique.

Mes compétences :
Allergie
Apnée
Biologie
Biologie animale
Médecine
Plantes Médicinales

Entreprises

  • Rainbow respiration consciente - Animateur

    2014 - maintenant J'organise des groupes de travail mensuel sur la respiration. Ce sont des ateliers de 3h et limités à 4 personnes.
    Je développe des groupes de travail hommes et femmes afin de traduire le language de chacun pour apprendre à se connaître, à se comprendre et mieux vivre en couple.

  • Rainbow - Animateur

    1995 - maintenant Trop souvent, on observe le système respiratoire comme un système performant mais séparé du reste du corps alors qu'il fait partie d'un tout. Il est important de prendre en considération le côté affectif de la personne.Tous les mammifères respirent du nez et dans la panse. L'humain est le seul mammifère à respirer du nez et dans la poitrine !!! On a oublié comment faire, on a perdu le mode d'emploi.
    A mon sens, une des causes principales de cet oubli, c'est l'ignorance. A la naissance, le cordon ombilical est coupé trop tôt. En effet, celui-ci devrait être sectionné quand le placenta se détache du ventre de la mère. C'est seulement à ce moment que le bébé reçoit instinctivement l'information de sa mère qu'il peut respirer par lui-même. Quand on coupe le cordon trop tôt, le bébé ne reçoit pas cette information.
    Quand le cordon est coupé trop tôt, le cerveau est en manque d'oxygène. Ce qui crée la peur de mourir chez l'enfant. Puis on le fait pleurer. Là, il sent dans ses poumons une brûlure d'une telle intensité qu'il croit qu'il va être dissout dans la douleur. C'est la seconde fois en peu de temps qu'il ressent la peur de mourir. Alors il va limiter son inspir pour vivre (survivre) alors qu'on dit qu'il est bien de respirer pleinement pour se déployer et ainsi se vivre à fond.
    La respiration est bien plus qu'un simple réflexe physiologique. Si nous naissons en bonne santé avec une respiration optimale, il faut compter sur les influences de nos états d'âmes et de notre vécu pour modifier le naturel respiratoire. Elle se révèle être un fidèle miroir de nos états d'être, de notre vécu, de notre environement et de la façon dont on vit sa vie. C'est notre signature.
    Nous avons tous un espace respiratoire qui nous est propre. Il est en général très petit et correspond au niveau d'amour qu'on a pour soi-même. Quand on maintient la personne dans cet espace, le stress, la maladie n'existent pas parce que c'est un espace du pure lumière.
    Quand une personne s'aime, son environement intérieur change ce qui redynamise le système immunitaire (la santé), le corps se détend et il est possible de développé un sentiment de bien-être durable.
    Il faut toujours veiller à ce que temps de l'inspiration soit égal au temps de l'expiration. Pour les problèmes d'apnées du sommeil (pas trop grave), il est conseillé de faire des exercices respiratoires en journée au lieu de donner de l'oxygène pendant la nuit.
    Idem pour les ronfleurs. Il est nécessaire de faire plusieurs séquences d'exercices respiratoires de jour de sorte que le voile du palais se décolle de celui-ci. Ainsi la personne pourra mieux s'exprimer et se libérer d'un sentiment d'impuissance profond par rapport à l'expression de lui même.

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