Москва2007 - maintenantAprès avoir débuté ma carrière dans le secteur automobile (Renault) j'ai rejoint la société SOFRESID pour découvrir le monde de l’ingénierie dans la sidérurgie.
J'ai choisi de rester dans les bureaux d'étude, la création me plaisait et je m'y trouvais bien. Malheureusement le secteur est entré en crise et je me suis reconverti dans la fonderie.
Pendant 8 ans, j'ai exercé les fonctions de chef de bureau d'étude au sein de la Société OSBORN. Cette société construisait des chantiers de moulage automatisés pour l'automobile principalement.
En 1983, j'ai rejoint, suite à une rencontre fortuite, la Société YSEBAERT, qui était d'une taille et d'une structure artisanale et dont la spécialité était l'usinage des matières plastiques. L'éventail de clientèle était particulièrement large, allant du médical à l'environnement, en passant par la chimie et les CEA.
Au cours d'une visite de routine dans un des établissements du CEA DAM (Bruyères le Châtel pour ceux qui connaissent), j'ai eu la chance de rencontrer deux personnes (Jean COULEAUD et Claude GALAN) qui m'ont appris les problématiques de la sécurité au niveau des postes de travail dans le nucléaire, plus précisément pour ce qui est des boites à gants.
En prenant un peu de recul, et en analysant les points faibles des réalisations de l'époque, j'ai imaginé un métier qui n'existait qu'à l'état embryonnaire, centré sur le confinement et ses différentes facettes.
Les secteurs concernés étaient et sont toujours le nucléaire et la biologie.
A partir de là, je me suis employé à développer et à crédibiliser progressivement cette activité d'abord au sein de la Société YSEBAERT jusqu'en 2007, puis au sein de la Société AMS France