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Jean-Christophe DUFAU

SAINT-MÉDARD DE MUSSIDAN

En résumé

Bonjour. Je suis français. Je suis disponible immédiatement. Je peux traduire du français vers l'anglais et de l'anglais vers le français. J'ai déjà effectué beaucoup de traductions pour de nombreuses personnes sur Elance et elles ont été satisfaites à chaque fois.

Vous trouverez aussi mon nom sur cette page :

http://www.amazon.com/Reconsidering-Tolkien-Thomas-M-Honegger/dp/3905703009/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1357636807&sr=8-1&keywords=Reconsidering +Tolkien

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A bientôt.

Jean-Christophe Dufau

Mes compétences :
JAVA
Microsoft SQL
SQL

Entreprises

  • Privé - Développeur informatique

    maintenant
  • Freelancer - Translator

    2013 - maintenant * Sample
    Traduction :
    Caitlin Paine craignait toujours son premier jour dans une nouvelle école. Il y avait les grands évènements, comme la rencontre de nouveaux amis, les nouveaux professeurs, la découverte de nouveaux couloirs. Et il y avait les petites choses, comme obtenir un nouveau casier, l'odeur d'un nouvel endroit, les sons que cet endroit produisait. Plus que tout, elle craignait les regards. Elle avait l'impression que, dans un nouvel endroit, tout le monde la fixait toujours des yeux. Tout ce qu'elle voulait, c'était rester anonyme. Mais il semblait que l'anonymat ne soit jamais à l'ordre du jour.
    Caitlin ne comprenait pas pourquoi elle attirait autant l'attention. D'une taille d'un mètre soixante, elle n'était pas particulièrement grande et, avec ses cheveux bruns et ses yeux marrons (et son poids normal), elle avait l'impression d'être dans la moyenne. Certainement pas belle, comme certaines des autres filles. A l'âge de 18 ans, elle était un peu plus âgée, mais pas assez pour que cela la fasse sortir du lot.
    Il y avait autre chose. Elle avait quelque chose qui poussait les gens à revenir la regarder. Elle savait, au fond d'elle-même, qu'elle était différente. Cependant, elle ne savait pas vraiment de quelle façon.
    S'il y avait une chose de pire qu'une première journée, c'était débuter les cours à la moitié du trimestre, après que tous les autres aient déjà eu le temps de créer des liens. Aujourd'hui, ce premier jour du milieu du mois de mars, allait être un des pires. Elle le sentait déjà.
    Cependant, dans ses rêves les plus fous, elle ne se doutait pas que cela serait aussi pénible. Rien de ce qu'elle avait vu (et elle en avait vu beaucoup) ne l'avait préparée à ça.
    Caitlin se tenait à l'extérieur de sa nouvelle école, une grande école privée de New York City, dans la matinée glaciale d'un jour de mars, et elle se demandait : Pourquoi moi ? Elle portait vraiment trop peu de vêtements, rien qu'un sweater et un caleçon, et elle n'était vraiment pas du tout préparée au chaos tapageur qui l'accueillit. Des centaines de gosses se tenaient là, parlant fort, criant et se poussant les uns les autres. On aurait dit la cour d'une prison.
    Tout était trop fort. Ces gosses riaient trop fort, juraient trop, se poussaient trop violemment. Elle aurait cru qu'il s'agissait d'une immense bagarre si elle n'avait pas repéré quelques sourires et des rires moqueurs. Ils débordaient simplement d'énergie et elle, épuisée, gelée, en manque de sommeil, ne parvenait pas à comprendre d'où venait cette énergie. Elle ferma les yeux et souhaita que tout cela disparaisse.
    Elle mit la main dans une de ses poches et sentit quelque chose : son iPod. Chouette. Elle mit ses écouteurs dans ses oreilles et alluma l'appareil. Elle avait besoin de noyer tout ce bruit.
    Mais rien ne vint. Elle baissa les yeux et vit que la batterie était à plat. Génial.
    Elle vérifia son téléphone, à la recherche de quelque distraction, n'importe quoi. Pas de nouveaux messages.
    Elle leva les yeux. Elle regarda la mer de nouveaux visages et se sentit seule, pas parce qu'elle était la seule fille blanche car, en fait, elle préférait ça. Dans d'autres écoles, certains de ses amis les plus proches avaient été noirs, espagnols, asiatiques, indiens, et quelques-uns de ses frères ennemis les plus méchants avaient été blancs. Non, c'était autre chose. Elle se sentait seule parce que l'endroit était urbain. Elle se tenait sur du béton. Un interphone bruyant avait retenti pour qu'elle rentre dans cette "zone de récréation" et elle avait dû passer par un grand portail métallique. A présent, elle était enfermée, emprisonnée par un immense portail métallique surmonté de fil de fer barbelé. Elle avait l'impression d'être entrée en prison.
    Quand elle regarda l'immense école, avec des barres et une cage sur toutes les fenêtres, cela ne l'aida pas à se sentir mieux. Elle s'adaptait toujours facilement aux nouvelles écoles, qu'elles soient grandes ou petites, mais elle s'étaient toutes trouvées en banlieue. Elle avaient toutes eu de l'herbe, des arbres, du ciel. Ici, il n'y avait que la ville. Elle eut la sensation d'étouffer. Cela la terrifia.
  • InnerExchange - Développeur

    2009 - 2009 Appli d'IM en Java pour 4 protocoles (Jabber/XMPP, Skype, AIM, YMSG)
    Appli d'envoi de mails en Ruby On Rails

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  • AFPA

    Saint Etienne Du Rouvray 2008 - 2009 Développement informatique industrielle et embarquée

    Monsieur Guevar
  • Faculté De Lettres D'Artois

    Saint-Médard De Mussidan 1986 - 2000 Doctorat de Littérature Anglo-Saxonne

    Je travaille sur Elance et Upwork.

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