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Luc GROUHEL

CAMARET SUR MER

En résumé

Le plus jeune d'une famille de 13 enfants, j'ai suivi des études classiques jusqu'au niveau bac en 1971. Après mon service militaire sur le "Bel Espoir", le virus des voyages s'est emparé de moi. Une brève expérience africaine au Gabon, puis au Cameroun, m'a poussé vers les Antilles où je me suis installé, avec ma femme et mes trois enfants (deux filles et un garçon) en 1984. 19 ans plus tard, je termine ma vie tropicale en Polynésie où je passe une année sur l'île de Raiatea, dans la location de voiliers comme responsable technique. Entretemps j'ai divorcé et me suis remarié avec Edith qui a trois filles! Depuis fin 2004, je suis rentré en Bretagne où j'ai repris, provisoirement, mon ancien métier de mécanicien-marine. J'ai écrit plusieurs livres dont trois sont publiés sur Internet.
http://styledor.net
http://url-ok.com/143bfb
http://balades-camaretoises.new.fr

Mes compétences :
Ecriture

Entreprises

  • Mecamar - Mécanicien-Marine-Diéséliste

    2004 - 2008 Montage de moteurs sur des voiliers ou bateaux à moteur.
    Dépannage en tous genres sur petites unités
  • Sunsail - Responsable Technique

    1988 - 2004 D'abord en Guadeloupe, je suis chargé de l'entretien d'une flottille de 40 voiliers. Cette expérience antillaise m'a beaucoup apporté sur le plan relationnel.
    Ensuite une année en Polynésie Française m'a permis de voir et surtout d'apprécier une autre vie. La gestion d'une flottille de voiliers avec pour seule aide "soi-même" m'a aussi affirmé sur ma personne.
  • SMAB - Technicien

    1978 - 1984 Un déplacement de 100 jours au Cameroun dans la ville de Douala en 1983 (année de la victoire de Y. Noah à Roland Garros!) a servi de prétexte à mon second livre: "100 Jours à Douala".
    Un armement de 6 bateaux de pêche est à l'agonie et je pars seul prêter main forte à Marcel pour remettre à flot ces chalutiers moribonds.
    Ma seconde expérience africaine, 6 ans après celle du Gabon qui ne fut pas un très bon souvenir. Mais cette fois les données sont bien différentes, mon expérience professionnelle s'est affirmée, les indigènes ne sont plus les mêmes. Le résultat est qu'au bout de ces 100 jours j'en arrive à regretter mon départ tout proche, les marins-pêcheurs de l'armement veulent me retenir, mais il me faut rentrer! Un des patrons-pêcheurs m'offre une carapace de tortue que je garde encore en souvenir dans ma demeure camarétoise.
    Les bateaux sont sauvés et moi j'en ressors riche de cette expérience inoubliable.

Formations

Pas de formation renseignée

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