Aujourdhui retraitée, je nen pense pas moins.
Le futur doit senvisager sur des horizons suffisants pour espérer éviter des prises de décisions hasardeuses. 2050 est la mesure minimale.
Ce quon réalise aujourdhui, fera encore partie de la vie dans 30 ans, 50 ans, pour le pire ou le meilleur. Choisissons que ce soit pour le meilleur.
Plus que jamais, je pense que le territoire, son aménagement, son développement, sa « santé », résultent d'une multitudes dactions. Tous les corps de métiers doivent se parler et travailler de concert pour rendre notre habitat, notre environnement résilients.
Ils doivent prendre le temps de le faire, en oubliant leurs ego!
Chaque projet, chaque partenariat, prometteur d'amélioration doit retenir notre attention.
Chacun de nous doit intégrer la notion de cause à effet et le long terme.
Nous ne pouvons envisager un avenir soutenable qu'en réfléchissant ensemble, qu'en faisant cause commune et en partageant nos doutes, nos connaissances et nos données.
Pour réfléchir ensemble, il faut parler le même langage. Nous devons donc commencer par éduquer lautre à nos métiers et à nos acquis de lexpérience.