GUINGAMP
Diplomé de UPMC (Paris) en chimie-physique jusqu'au niveau licence,
j'étudie en free-lance, des dispositifs énergétiques nommés moteurs magnétiques décrits à partir de théories physiques et mathématiques reconnues, non-révolutionnaires, classiques et sans faire appel à des concepts ésotériques ni mystiques, ni à des concepts physico-mathématiques hors sujet comme le concept ZPE etc...et en justifiant toujours physiquement et mathématiquement les résultats obtenus théoriques ou expérimentaux, trouvés sur le net, provenant du monde entier et sans censurer aucunement l'obtention très explicable et conforme aux Principes de la Thermodynamique connue, des rendements dits sur-unitaires, qui défraient la chronique et irritent les scientifiques conformes aux croyances en vigueurs incomplètes.
La technique utilisée pour réussir ce type de moteur est le découplage (avec des semiconducteurs adéquats) d'impédances inductives décroissantes (inducto-propulseur électromagnétique selfique), associées au champ magnétique des aimants, technique qui possède les caractéristiques de puissances et de rendement suffisants pour propulser les aimants d'un moteur; en effet, une erreur commune est d'utiliser les aimants seuls pour obtenir la propulsion du rotor mais l'expérience et la théorie montre qu'un échec attend cette formule. Les techniques liées au temps de relaxation fini des selfs, des capacités ou des ferrites, produisent le travail interne nécessaire à la propulsion des aimants couplés par un ferrite, un circuit RC ou RL. La mise en accord de l'onde magnétique statorique et de la dimension des poles d'aimants finalise le fonctionnement de tels moteurs, véritables états stationnaires macroscopiques magnétiques et mécaniques.
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