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Maxime ROME

Paris

En résumé

Mes compétences :
Botanique
Horticulture
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Cartographie SIG

Entreprises

  • station alpine Joseph Fourier (UMS 3370 UGA-CNRS) - Responsable du jardin alpin du Lautaret

    Paris 2018 - maintenant La Station alpine Joseph Fourier est une unité mixte de services de l'université Grenoble Alpes et du CNRS. Elle déploie ses activités au col du Lautaret (Jardin botanique alpin, Chalet-laboratoire et Galerie de l'Alpe) et sur le campus de Grenoble (arboretum Robert Ruffier-Lanche et serres en cours de construction). Ses missions concernent le développement de plateformes de recherche, l’entretien de collections botaniques, la formation des étudiants et la vulgarisation scientifique auprès du grand public.
    Sous la responsabilité du directeur de la station alpine Joseph Fourier, je gère le jardin alpin du Lautaret, met en place les plannings, encadre les salariées (titulaires et saisonniers) ainsi que les stagiaires, afin d'assurer la fonctionnement de ce lieu, son évolution et d'accroître son attractivité.
  • Station alpine Joseph Fourier (UMS UJF-CNRS 3370) - Ingénieur d'étude

    2015 - 2018 Poste d'ingénieur d'étude expert en botanique et écologie sur les milieux de haute altitude. Sous la responsabilité du directeur de la station, je suis en charge de la diffusion des connaissances et des avancées de la station alpine. Je participe également à des programmes de recherche en apportant mes compétences dans la déterminations des milieux et des végétaux.
  • Jardin botanique de Lyon - Responsable scientifique

    2012 - 2015
  • Collège /lycée agricole Saint André - Professeur de biologie générale, écologie et développement durable

    2011 - 2012
  • Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS) - Stagiaire CNRS en botanique tropicale

    2011 - 2011 Mission scientifique en Martinique et Guadeloupe : Collecte d'échantillons (ADN, Herbiers) et caractérisation morphologique de Passiflora laurifolia.
  • Institut méditerranéen du patrimoine cynégétique et faunistique (IMPCF), Vergeze (30) - Ingénieur chargé de mission en inventaires botaniques

    2010 - 2010 cadre de l'étude : Le lapin de Garenne présente des comportements de pullulation variables en fonction des sites où il se trouve. L’hypothèse avancée est que la variation du couvert
    végétal favorise ou non sa pullulation. Dans cette étude, des relevés floristiques dans les Causses et les Alpes de Haute Provence ont été réalisé afin de connaître le régime alimentaire du lapin de garenne. Ce dispositif présente un plan d’échantillonnage aléatoire sur l’ensemble des parcelles d’étude avec une technique de quadras.
  • Collège /lycée Assomption Bellevue, La Mulatière (69) - Maître auxiliaire en SVT et biologie et physiopathologie humaine

    2010 - 2011
  • Collège Saint Joseph, Saint just Saint Rambert (42) - Maître auxiliaire en Sciences de la vie et de la terre

    2009 - 2009
  • Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS), Montpellier (34) - Stagiaire CNRS en botanique tropicale

    2009 - 2009 Mission en Guyane Française : Poursuite de l'étude initiée en 2007 sur la supersection laurifoliae (genre Passiflora).
  • Laboratoire d’ECologie Alpine CNRS (LECA), Grenoble (38) - Assistant ingénieur CNRS

    2009 - 2009 Mise en place d’une manipulation expérimentale à la station alpine du col du
    Lautaret, s’intégrant dans le projet international Eu-Biodiversa VITAL, qui
    a pour but de produire un modèle conceptuel des relations entre la diversité
    fonctionnelle végétale et microbienne dans des prairies et les provisions des
    multiples services écologiques. Durant cette manipulation, 2500 plantes issues de
    4 espèces différentes ont été multipliées puis cultivées avant d’être replantées en
    mélange dans 64 mésocosmes afin de recréer des « micro-écosystèmes » artificiels
    qui subiront chacun des traitements différents comme la fauche ou la fertilisation.
  • Laboratoire d’ECologie Alpine CNRS (LECA), Grenoble (38) - Stagiaire CNRS en écologie alpine

    2009 - 2009 Sujet : l’impact des activités agricoles sur la phénologie des plantes en prairie subalpine.
    Les Alpes ont subi au cours des temps, l’impact de l’homme. Ce dernier a défriché, cultivée, fauché et pâturé ce paysage. Ces perturbations ont permis de conserver un milieu ouvert présentant une grande richesse floristique. Cependant, ces activités essentiellement agricoles sont de plus en plus marginales et appelées à disparaître. De plus, il semblerait que ces zones de montagnes présentent une sensibilité accrue aux changements climatiques. Dans ce contexte, nous avons tenté de comprendre quels étaient les différents facteurs influençant la phénologie des plantes subalpines. Ainsi, nous avons pu montrer, sur l’Adret de Villar d’Arène (Hautes Alpes) que la phénologie de floraison à l’échelle de la parcelle dépendait essentiellement de la composition floristique de cette dernière. Cependant, au niveau des espèces, il semblerait que la photopériode, le cumul des degrés journalier ainsi que la date de fonte des neiges soient des éléments importants influençant les différents stades phénologiques de ces plantes.
  • Faculté Antilles/Guyane, Cayenne; (97) Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS), Montpel - Stagiaire CNRS en botanique tropicale.

    2008 - 2008 Dans le cadre plus général d’une étude de la diversité spécifique amazonienne, nous nous sommes intéressés à un complexe d’espèces : les Laurifoliae qui appartiennent au genre Passiflora L. et présentent une grande homogénéité morphologique. Il est donc important de délimiter la notion d’espèce au sein de ces deux groupes afin de donner une base à des études autres que taxonomiques sur ces passiflores. Les travaux en cours font appel à la technique de taxinomie numérique. Celleci permet d’évaluer quantitativement, de façon précise, reproductible des différences ou des ressemblances aux seins de groupes d’espèces où les barrières interspécifiques sont floues. Dans cette optique, un travail d’échantillonnage est réalisé en Guyane française (en 2007 et 2009) et en Martinique et Guadeloupe (en 2011) comprenant un protocole de récolte précis. Des variables quantitatives et qualitatives sont mesurées seulement sur les caractères végétatifs. Une analyse en composantes principales est alors appliquée aux données quantitatives. De là, sont extraites certaines de ces données qui sont catégorisées et ajoutées aux données qualitatives. Cet ensemble de données est soumis à une analyse factorielle sur tableau de distance. Corrélée à cette étude, une analyse de la répartition potentielle de ces espèces est réalisée en fonction des données climatiques.
    Ce travail pose les premières questions sur le discernement d’espèce au sein du complexe Laurifoliae.
  • Jardin Botanique du Parc de la Tête d’or, Lyon (69) - Apprenti jardinier botaniste

    2006 - 2007

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