Mohammed LAAOUINI

Né, le 25 11 1944, à Fès, Maroc
Marié, père de 3 enfants : Anas, Thouraya et Asmae
Adresses : 14 Allée des Roses, avenue Ibn Alkhatèb, 30 050 Fès, Maroc

1 Rue Marcel Sembat, 94 240 L'Hay-Les-Roses, France
Téléphones portables : (France) 0033146634467 et (Maroc) 00 212 6 66 96 91 78
Profession : retraité de l'enseignement supérieur,
ancien professeur de chimie à la faculté des sciences de Fès, Maroc
Doctorat d'Etat, Institut National Polytechnique de Toulouse, 1986
Doctorat de l'Université Paul Sabatier, Toulouse, 1976
Enseignement : Chimie générale, chimie minérale
Directeur du DESA : " physico-chimie des matériaux et protection de l'environnement "
Publications sur l'échange anioniques (OH-, X-) dans les soliides de structure apatitique (X- = F-, Cl-, Br-, I-)
Publications dans d'autres domaines (calcul d'une structure, physico-chimie des matériaux et autres)

Directeur du DESA*(diplôme d'études supérieures approfondies) 1998/99 et 1999/2000
* Physico-chimie des matériaux et protection de l'environnement

Ce diplôme a été, au Maroc, l'un des premiers à avoir inclus une formation complémentaire,
concernant l'évolution de la pollution dans notre planète "Terre", surtout depuis le début du
XXème siècle. Ce phénomène a connu une accélération inquiétante, à partir de la deuxième
moitié de ce siècle (XXéme).

Les scientifiques ont été les premiers à avoir lancé un appel au secours de l'environnement naturel. Cet appel a été destiné aux gouvernements, aux décideurs, aux industriels et aux citoyens dans tous les pays du monde.

Le phénomène de la pollution ne connait pas de frontière car le déplacement de l'air n'est pas
maîtrisable, les nappes phréatiques sont, très souvent, des vases communicants entre
plusieurs pays, les chutes de pluie polluée sont, elles aussi, incontrôlables. En outre, les
cours d'eau convergent vers les océans, pour déverser les excès de pollution et contaminer
les ressources halieutiques, les profondeurs des océans, les plantes aquatiques ainsi que les surfaces des eaux.

Bien après les scientifiques, les gouvernements sont, finalement, convaincus que les océans ne
constituent pas une réserve d'eau salée, purifiante et infinie et les rejets pollués et polluants
ne seront pas infiniment dilués, pour demeurer négligeables et tolérables, par les ressources
halieutiques, les plantes sous marines et la surface des océans. Nous n'allons aborder, dans ce contexte, la contamination transmise aux consommateurs, par les ressources halieutiques, de plus en plus contaminées.

La pollution par les déchets nucléaires, par les rejets chimiques toxiques et in-dégradables et également, par les gaz à effet de serre, constitue un dossier épineux et accablant. Ce problème a été abordé, à plusieurs reprises, par les instances internationales; mais les pays industriels et émergents, qui produisent plus de 96% de la pollution, préfèrent sauver le présent et n’acceptent pas de faire des concessions importantes, pour diminuer suffisamment, la production des gaz à effet de serre. Ils n'acceptent pas de donner un peu plus de chance aux générations futures, en diminuant la productivité polluante. Ils ont peur de perdre leur importance et leur productivité, à l’échelle internationale. Ils ont une seule priorité : la productivité galopante et leur rang, à l'échelle internationale.

L'utilisation des sources d'énergie non polluantes évolue à petit pas, pendant que l'agression de la pollution, par les sources d'énergie classiques se maintient et se répercute sur la diminution des réserves de glaces sur les pôles "nord et sud"et sur les chaînes montagneuses.

Les notions, décrites, ci-dessus, ont été abordées dans ce "DESA", avant de développer la partie, concernant la pollution chimique et ses différents aspects. Un aperçu sur la pollution biologique (déchets hospitaliers et autres) a été présenté dans le module "pollution"du DESA.


Mes compétences :
hygiène
chimie minérale
Environnement