Bonjour à toutes et à tous.
Comme beaucoup je vis quotidiennement de profonds changements dans ma sphère professionnelle. Extrait du monde auto-suffisant de la logique du profit, je redécouvre le monde réel, celui de la proximité. Et il flotte dans ce monde comme un parfum d'urgence , un impératif de changements, d'adaptation à de nouvelles conditions socio-économiques. Emploi raréfié, économies, recyclage, retour au bon sens de nos anciens qui savaient la vraie valeur des choses tout en se laissant bercer par les illusions du progrès.
La parenthèse des trentes glorieuses est belle et bien oubliée . Là bas dans le monde d'avant.
Dans la construction neuve, l'offre proposée par les groupes , ceux à la philosophie d'après guerre , est déconnectée .Qualité d'espaces médiocre, performance énergétique règlementaire, peu de prise en compte dans la mise en œuvre des éco-matériaux mais aussi plans de financements étalés sur des décennies, que ne veulent plus supporter les jeunes générations et pour cause...
Il faut trouver des alternatives aux dino-modes de construction
(Avouons-le le mur de 20 en parpaing + 11 cm de doublage polystyrène plâtre a vécu et bien vécu.)
et faisons le choix de la construction bois plus légère, plus modulable plus adaptée et tellement plus agréable à vivre.
Le bâti ancien , on ne se lasse pas de l'entendre, est le gisement le plus volumineux en surfaces habitables mais surtout en économies d'énergie potentielles. Les notaires ont planché sur le sujet et la notion de "valeur verte" émerge du marché.
La « valeur verte » d’un immeuble désignant la variation de sa valeur, prix ou loyer, imputable à sa performance environnementale au sens large, ... de l'ordre de 5% actuellement ...mais demain ?
Adapter le patrimoine aux besoins de conforts actuels demandera par ailleurs de concilier rénovation énergétique et revalorisation du patrimoine bâti.
Prenons l'engagement de l'éco-construction et de l'éco-rénovation au regard des défis à venir.
Mes compétences :
Développement commercial