HYÈRES
Ecologiste Microbien,
Docteur d’Etat es Sciences naturelles,
Consultant Scientifique de la Société Akinao
*De 1990 à 2013 Directeur de recherche au CNRS
*De 1999 à 2003, Directeur de l'institut fédératif de recherche Sciences et méthodes de l’écologie et de l’évolution (IFR 41) de l’université Claude Bernard Lyon 1 et de l’INSA de Lyon
* Et en 2003, Directeur du programme de recherche interdisciplinaire "Microbiologie Fondamentale" du CNRS.
*De 2003 à 2011, Directeur de l’unité Mixte de Recherche" Écologie Microbienne" Université Lyon 1 (UMR 5557 CNRS-INRA-Université Lyon 1-École nationale vétérinaire de Lyon), spécialisée dans l’étude des écosystèmes microbiens et leur rôle dans les interactions microorganismes-plantes.
*De 2006 à 2009 Directeur scientifique adjoint au département Sciences de la Vie et au département Environnement et développement durable du CNRS.
*De 2009 à 2011 Directeur adjoint scientifique de l’Institut écologie et environnement du CNRS, en charge de la Biodiversité, l’écologie de la santé et l’ultra-marin,
*De 2011 à 2013 Directeur de la Direction des Programmes de recherche et de la formation pour le développement des pays du Sud (DPF) de l’AIRD (Agence Inter-établissements de Recherche pour le Développement),
*Participation comme expert aux travaux des alliances Aviesan et AllEnvi, de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB), du groupe de travail Toxicologie-écotoxicologue du ministère de la Recherche … Membre de nombreux conseils scientifiques (CS de Lascaux…) et comités de pilotage de programmes (ANR, CNRS…).
*Auteur de plus de cent vingt articles scientifiques et plus de 100 communications à des colloques ou workshops scientifiques en France et à l’étranger et 3 brevets,
*Domaine de Recherche : l’Ecologie Microbienne , « de la stimulation de croissance des plantes au biocontrôle ».
Spécialisé dans l’étude des interactions bactéries plantes. Notamment l’isolement et la caractérisation des bactéries rhizosphériques et l’étude des mécanismes d’interaction des bactéries avec leur hôte. Parmi les principaux résultats, l’isolement de bactéries rhizosphériques phytostimulatrices et phytoprotectrices des plantes, le rôle du mécanisme de variation de phase (mobilité) chez les bactéries rhizosphériques en interaction avec leur hôte, la découverte de la première laccase bactérienne, d’ inhibiteurs bactériens de plantes parasites (Striga , Orobanches) des céréales, des oléagineux et des légumineuses et la mise au point d’ inoculants bactériens pour améliorer la croissance des plantes (grandes cultures (céréales…) ou de l’ agriculture maraichère et permettant la diminution des intrants chimiques.
Pas de formation renseignée
