Les années 80 ont vu exploser les frontières des organisations, les années 90 ont vu proliférer les communautés (de marques, de pratiques, épistémiques…), les années 2000 ont été le théâtre du développement exponentiel des réseaux en ligne.
Aujourd’hui, l’actualité sur la mutation du salariat, sur l’entreprise étendue, l’entreprise libérée, sur les nouveaux espaces de travail, sur l’intelligence collective est forte : 40% des entreprises du CAC40 ont désormais une politique de télétravail et selon une étude réalisée par Intuit, 40% de la population active des États-Unis sera freelance en 2020.
Parmi les tendances pour répondre à ces évolutions des formes de travail, les espaces de coworking proposent une alternative aussi bien externe qu’interne. En tant que Tiers-Lieux (Oldenburg, 1989) facilitateurs d’innovation et de collaboration, les espaces de coworking ont une résonnance très forte avec l’actualité managériale comme en témoigne l’ouverture de nombreux espaces de coworking au sein même des grandes entreprises.
Dans une épistémologie constructiviste, ma recherche-exploratoire participante souhaite étudier les phénomènes éphémères au sein des espaces de coworking.
Mots-clés :
Phénomène organisationnel éphémère, réseau évanescent, organisation éphémère, knotworking, meshwork, Tiers-Lieu, espace de coworking, travail collaboratif.
Mes compétences :
Conseil
Recherche
MOA
Gestion des ressources humaines
Réseaux sociaux