Nos sociétés modernes sont devenues des « sociétés à projets ». Les projets concernent autant les institutions (projet scolaire, projet d'établissement hospitalier, projet de loi, projet politique, projet de société...) que les individus, à tous les stades de la vie (du projet éducatif au projet de retraite, en passant par les projets professionnels, familiaux, existentiels...).
Cette omniprésence du mode projet dans tous les aspects de l'activité humaine renvoie à une vision idéalisée de ce mode d'action. Le projet semble alors devenu un instrument qui donne l'espoir à l'homme de ne plus seulement subir les événements, mais de pouvoir maîtriser le cours de l'histoire et forger le futur à sa façon.
Pour innover, se transformer ou s'adapter, nous sommes amenés à conduire de nombreux projet au cours de notre vie.
Déployer une stratégie, mobiliser l'organisation, améliorer ses processus, mesurer les risques... Au final, assurer ses performances. Toute organisation le souhaite, chaque chef de projet en rêve !
Ces projets entraînent souvent des transformations profondes pour les personnes. Trop souvent, cette dimension humaine est le « laissé pour compte » de la gestion du projet. Pourtant, il n'y a pas de projet réussi sans changement accompli ; et c'est la prise en compte du facteur humain, de la dimension sociale et culturelle d'un projet - fondamentale pour l'appropriation des résultats du projet par ceux qui seront chargés de l'utiliser. L'accompagnement du changement, avec la formation, la participation et la communication en tant que principaux leviers.
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Consultant
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