Formé à l'École Séguéla, des années 1980, puis disciple inconditionnel de Philippe Michel fondateur et Président de CLM BBDO j'ai acquis une passion pour les Marques... À leur sujet j'ai publié "La République des Épiciers" en 1993, puis, "l'autre côté du miroir" en 1998... En attente de publication "La vie est (encore) belle" ou "comment passer d'une Société Tati Danielle à une Société Mamie Nova" sortie 2015... Je me considère comme un publicitaire généraliste, cela veut dire que je suis curieux de tout, et plus encore. Mon expérience Marketing m'a prouvée que la réflexion est l'ennemie de la pensée, elle m'a souvent démontrée que ce n'est pas le marché qui fait la proposition publicitaire... Mais la proposition publicitaire qui fait le marché. Le plus saisissant est que je ne suis jamais parvenu à entrer en désamour avec la publicité. J'y prends toujours autant de plaisir, elle me réserve sans cesse de belles surprises... J'entends par Publicité tout ce qui fait partie de la Communication d'une Marque ou d'une Institution car je ne pratique pas l'art de couper la communication en tranches de saucisson. Après tout, depuis que le Taylorisme est révolu, on a tous bien compris que la spécialisation menait à l'échec... N'est ce pas?... Le comédien Sim avait une phrase formidable, il disait "quand j'étais jeune, je voulais être ministre ou clown... J'ai choisi la deuxième option, car je suis un garçon sérieux..." Je pense que l'image de clown est parfaite lorsque l'on pratique l'art de la communication. Pourquoi? Parce que, quand les clowns ont fait beaucoup rire, ils jouent toujours du violon... Ce qui est un signe. Ils sont clowns et ça se voit. Comme les publicitaires qui eux, le disent avant chaque intervention... "Holà les petits enfants, c'est la Publicité"... Oui, c'est la Publicité et c'est aussi le miroir comique de la tragédie et le miroir tragique de la comédie... Une autoproclamée marketteuse stratège communicative Conseil corporate très ennuyeuse, m'a dit un jour que je mettais un nez rouge, j'ai simplement pensé à Félix Leclerc... "Un ennuyeux s'ennuie même chez les clowns"... Mais elle ne connaissait pas Félix Leclerc. Je suis donc un clown, mais à la manière de Guido dans "la vie est belle", lorsqu'il s'affuble d'un nez rouge pour donner le change à son fils Giosué, caché dans une poubelle d'Auschwitz-Birkenau pour continuer son rêve... Dix secondes après, au détour d'un baraquement, Guido est fusillé, mais Giosué est sauvé. Keats écrivait "ce n'est pas ce qui est vrai qui est beau, c'est ce qui est beau qui est vrai"... Quand une chose est belle, elle devient réelle parce qu'au fond rien n'existe qui n'ait d'abord été rêvé.
Mes compétences :
Coaching
Communication
Conception
Ecriture
Rédaction
Stratégie