Emmanuelle DE BOYSSON

Romancière et critique livres à Version Fémina, BSC news et Service littéraire, elle est présidente du Prix de la Closerie des Lilas, membre de plusieurs jurys littéraires dont celui de l’Ile aux Livres/ La Petite Cour remis au salon de l’Ile aux Livres et auteur d’une quinzaine de livres à succès comme Les grandes bourgeoises (J-C Lattès, Pocket). Sa trilogie historique vous entraîne au XVIIe siècle : Le Salon d’Émilie ; La revanche de Blanche ; Oublier Marquise. Le Bonheur en prime (Flammarion), comédie piquante et réjouissante, se déroule à l’île de Ré où elle passe ses vacances avec son mari et ses trois enfants. Récentes publications : Stendhal se démasque, Duetto (Nouvelles lectures), Balzac amoureux (Ed. Rabelais, 14 E), superbe livre illustré. Prochain roman : Les années solex (février 2017, Ed. Héloïse d’Ormesson).


Les Années Solex

LE LIVRE Alsace, 1969. Juliette passe l’été chez ses grands-parents, avec Camille, sa cousine délurée, qui lui présente Patrice, dont elle tombe follement amoureuse. Les vacances riment avec insouciance et innocence, s’y mêlent les goûts et les senteurs des derniers moments de l’enfance, notes sucrées qu’on voudrait ne jamais oublier.
Pourtant les revendications sociales issues de mai 68 grondent encore. Les parents de Juliette tentent de la préserver du climat d’insurrection qui s’empare de Mulhouse. Elle en profite malgré tout pour s’évader du cocon avec sa cousine, tandis que son petit ami s’engage politiquement et sombre dans la drogue et l’autodestruction. Si Juliette flirte avec la provocation et ose défier son milieu, elle finira par suivre, en jeune fille de bonne famille, la voie qu’on lui a tracée et ne transgressera pas les limites, à l’inverse de Patrice…

Que reste-t-il de notre adolescence ? Le souvenir d’un parfum de Schiaparelli, le velours orange d’un pantalon pat d’eph, des éclats de rires, autant de madeleines de Proust que Les Années Solex nous invite à partager. Évocation d’une jeunesse prise en étau entre la liberté et les codes de la bourgeoisie de province, ce roman est celui d’une génération, d’un âge, celui des excès et de tous les possibles, où l’on s’éprouve et l’on s’égare avant de choisir son chemin.


L’AUTEUR Emmanuelle de Boysson est écrivain et critique littéraire. Présidente du prix de la Closerie des Lilas, elle a publié de nombreux essais et romans dont Les Grandes bourgeoises (2006), succès de librairie.

ARGUMENT DE VENTE L’ancrage alsacien.
Un savoureux mélange d’insouciance et de gravité.
Délicieusement nostalgique.

Le bonheur en prime ( 7 mai 2015 chez Flammarion)


Emmanuelle de Boysson a déjà publié chez Flammarion Le Salon d’Emilie, La Revanche de Blanche et Oublier Marquise.
Présidente du Prix de La Closerie des Lilas. Journaliste, elle collabore à plusieurs journaux : VERSION FEMINA Service littéraire, le salon littéraire, Fémi 9 et BSC news. Ecrivain, elle a publié des romans historiques : Le salon d’Emilie, Flammarion, avril 2010 (collection : Le Temps des femmes) Sortie du second tome, La revanche de Blanche, en avril 2012 et L’Amazone de la foi (Presses de la Renaissance). Des romans contemporains : Les Grandes Bourgeoises, (J-C Lattès, Pocket ) et Les Nouvelles Provinciales (J-C Lattès, Pocket). Des essais : Le Cardinal et l’hindouiste, (Albin Michel, Petite Renaissance), Georges Izard, avocat de la liberté, Le secret de ma mère, Les Secrets des couples qui durent (P. de la Renaissance/J’ai Lu en cinq petits volumes), Femmes, les grands rendez-vous de votre vie (Presses de la Renaissance) ainsi que trois ouvrages coécrits avec Claude-Henry du Bord. : Eloge des femmes mûres (Alphée), Ami Amie pour la vie et Nous les bons vivants (éd du Rocher).



Auteur d’une douzaine d’ouvrages à succès dont Le Salon d’Émilie et La Revanche de Blanche, Emmanuelle de Boysson est présidente du Prix de la Closerie des Lilas, journaliste et critique littéraire.