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Jacques MICHELET

BRUSSELS

En résumé

Psychodramatiste
Certifié en hypnose Ericksonienne(2010), en thérapie brève, systémique.
Formé à l'Hypnose Médicale en 2013 au CHU Saint Pierre/Clinique César de Paepe par le Dr Patrick Van Alphen, ancien élève du Dr Faymonville CHU Liège.
CEP (certificat européen en psychothérapie)
Prof. de cours de psychologie du travailleur.
Dans le secteur psycho-médico-social depuis plus de 30 ans.
Dans le secteur du handicap mental depuis plus de 25 ans.
Auteur:"handicap mental et Technique du psychodrame"
chez L'Harmattan.
"Quand le corps parle et que le psychanalyste écoute" chez Eres.
mon site web:
http://www.psychotherapie-psychodrame.be/

Mes compétences :
Hypnose thérapeutique
Psychodrame
Psychothérapie
Accompagnement
Supervision individuelle et de groupe
Orientation scolaire et professionnelle

Entreprises

  • CHU Saint Pierre/Clinique César de Paepe - Formation complémentaire

    2010 - maintenant Certifié en Hypnose Ericksonienne, en juin 2010, formation dispensée en trois ans et reconnue par l’Institut H.Erickson de Belgique lequel est reconnu par la Milton H.Erickson Foundation de Phoenix, Arizona.

    Formé en hypnose médicale à l'Ecole d'Hypnose Médicale CHU Saint Pierre/Clinique César de Paepe par le Dr. Patrick Vana Alphen ,ancien élève du Dr. Faymonville (Liège) en 2013.

    L’hypnose médicale moderne est enseignée comme un état d’esprit un peu particulier avec un outil de communication : «les mots qui soulagent et les phrases qui guérissent »
    Cette hypnose médicale « moderne » permet de réduire ou de supprimer des symptômes douloureux, des dysfonctionnements organiques, certains troubles inflammatoires, des conséquences psychosomatiques d’un traumatisme, d'une agression, des troubles du comportement alimentaire, etc.
    Elle permet d’aborder les aspects psychologiques de nombreuses pathologies somatiques.
    L’état hypnotique est abordé débarrassé de toute fausse croyance et compris comme un état de dépotentialisation de l’esprit critique qui conduit à une plus grande suggestibilité.
    Dans cet état, le patient est incapable ou moins capable de critiquer sa propre imagination de réduction ou de disparition de son problème. Cela conduit à la transformation d’une idée en un changement physique ou psychologique : analgésie, vasoconstriction, broncho-dilatation, changement de comportement, de mode de pensée, etc.
    Entre vigilance restreinte et vigilance généralisée, il existe tous les degrés possibles de vigilance. Ce qui pourrait faire comprendre que l’on définisse l’hypnose comme un état modifié de conscience. Encore faudrait-il souligner qu’il ne s’agit plus de la conscience proprement dite à laquelle se réfère le sens commun. L’induction de l’hypnose est le passage de la vigilance restreinte à la vigilance généralisée.
    Ce passage qui est toujours le fruit d’un accord ou d’une décision du patient, est favorisé par diverses techniques (fixation du regard, attention portée aux différentes parties du corps, confusion, etc.) et par l’état de vigilance généralisée dans lequel se trouve le thérapeute. C’est par ces techniques et par cet état que le thérapeute peut être dit : user de suggestion. Le pouvoir du thérapeute a donc pour fondation la largeur et l’intensité de sa veille généralisée. Là où les modifications opérées par l’exercice de l’hypnose peuvent être comprises comme la transformation de la rigidité des habitudes, enregistrées par l’esprit conscient, en souplesse et fluidité grâce à l’expérience de la complexité et de la force de la vigilance généralisée. L’esprit inconscient met à la disposition du patient les nouvelles possibilités et capacités qui vont lui permettre de changer.
    Dans cette perspective, il est facile d’admettre que l’hypnose puisse être considérée comme médicale.
    Elle est en effet capable de guérir certains troubles ou comportements nocifs (contrôle de la douleur, addictions, difficultés alimentaires, dysfonctionnements psychiques ou psycho-somatiques). Quelqu’un, par exemple, voudrait bien ne plus fumer. Son passage par la vigilance généralisée lui permettra d’une part de mesurer et d’approfondir le degré de sa détermination, d’autre part de prendre appui sur des forces et des intérêts nouveaux qu’il ne soupçonnait pas et qui rendent dérisoire en comparaison le plaisir de la cigarette. L’hypnose guérit alors parce que, modifiant le contexte d’une habitude, elle en détruit le ressort.
  • ABP (Association Belge de Psychodrame) - Psychologue-psychothérapeute

    1997 - maintenant Ex-PRESIDENT DE L'ABP (Association Belge de Psychodrame) asbl
    Ex-Président fondateur de l'asbl.
    L’ABP se veut un espace de rencontre pour les praticiens
    du psychodrame à travers des séminaires de lecture, des
    séances d’intervision, des journées thématiques. elle n’est
    ni une école de formation de psychodramatistes ni une
    association professionnelle.
    L’ABP vise à soutenir la dimension plurielle du paysage
    psychodramatique en Belgique à partir des pratiques du
    psychodrame lui-même, du jeu de rôle, du sociodrame, des
    techniques théâtrales proches, à partir des lieux où il se
    pratique : en « privé », en institution : à l’hôpital, à l’école,…
    et de la variété des personnes concernées : adultes,
    personnes âgées, handicapées, enfants, couples, équipes
    professionnelles, etc.
    Une autre dimension plurielle consiste en ses diffé-
    rents champs d’action qu’ils soient thérapeutique, de
    développement personnel, de formation, de supervision,…

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