Jean Pierre LEFEVRE

Une B A stupéfiante Dans la vie on est parfois amener à faire des conneries et quand la connerie à son contraire on peut appeler cela une Bonne Action. J’allais en commettre une dans le courant du mois de mai de l’ année mille neuf cent quatre vingt dix neuf Ce soir là, il était dix heures moins le quart, l’heure de la pub et pour moi l’heure du pétard. Fumant dans ma cuisine ,j’entendis soudainement un vacarme assourdissant ,je me suis donc précipité à la fenêtre avec toujours une vu imprenable sur les poubelles ,quant je vis un individu d’une trentaine d’années soulever le couvercle d’une poubelle ,voyant que cette dernière était pleine ,il passa à la deuxième et s’y jeta comme on jette ces ordures ,tout en prenant bien soins de refermer derrière lui Tirant une bouffé sur mon tarpé ,j’avais l’impression d halluciné ,tournant machinalement la tête tout en expirant la fumée avec à ce moment là les idées qui s’embrumé par ce qu’il venait de se dérouler sous mes yeux et juste à l’instant ou je relever la tête je vis quatre jeunes qui couraient à petites foulées et disposer en formation de battue je les voyaient du haut de mes deux étages,courant de droite à gauche,s’agitant,tant dis que l’inconnu Toujours dans sa poubelle, vaquer à ses affaires. Puis tous firent demi tour se dirigeant vers une voiture, le chauffeur s’engouffra suivit des trois autres. Pendant un court instant, je pensais au rat qui s’était auto prisonnier. Je ne sais pas pourquoi et surtout pour quelle raison ce lascar s’était caché dans cette poubelle, mais une chose est sur, j’allais le découvrir. Le bruit du moteur me fit sortir de ma torpeur .La voiture effectua une marche arrière et je compris à cet instant la qu’il un lien avec mon ami le rat De laboratoire, ce déchet de la société et ces quatre types. Je fis tout mon possible pour attirer leur attention, hurlant et gesticulant de toutes mes forces, ce que je fis avec succès puisque, le chauffeur m’ayant repérer coupa net son moteur, puis tous sortirent de la voiture, qui soit dit en passant était garé à la parisienne autant dire pas garé du tout. Mais la situation semblait parée au plus pressé. Je ne savais pas encore que j’allais m’adresser à des gens du voyage,ces quatre types était en fait tous très jeunes et leur age ne dépassé guère la vingtaines d’années, dans le même temps je me penchais à ma fenêtre Et parlais à celui qui était le plus proche, je lui indiqué qui il y avait quelqu’un qui se planqué dans la poubelle, il me dit aussitôt d’appeler la police je lui en demandé le motif et après l’avoir entendu m’exécuter en relevant la tête, j’aperçu la silhouette d’une dame. Mon rat de labo était fait comme un rat, c’était le cas de le dire. Encerclé par ces quatre types, il essaya de se faire la belle mais en moins de temps, qu’il ne faut pour le dire, il prit un coup de pied dans la face qui le laissa cloué sur place, adossé le long de la chaufferie, non loin des poubelles, il se mit soudain à parler, ces paroles sonnées comme un trente trois tour que l’on passe en 45 et ces propos était incohérent, il baragouiner n’importe quoi. Je décidais de descendre pour l’arriver des tuniques bleues, je vis notre brebis égarée complètement débraillé et surtout défoncé comme un terrain de manœuvre, et à le voir je me dis qu’il n’avait pas l’air d’être doux comme un agneau et ce n’était pas le genre de type à qui je ferais des confessions .Ce gars devait avoir la trentaine, typé franco –magrébin,je tiens à préciser que l’appellation d’origine contrôler de rat de laboratoire n’est du en rien au origine de l’agresseur,car même, dans un labo ,il y a des souris blanches,et n’étant pas raciste. Enfin bref, ce gars était cerné de toute part, comme l’était ces yeux et son cerveau qui était défoncé comme un terrain de manœuvre. Une fois l’oiseau en cage, les flics se rendirent sur les lieux de l’agression, je me joignis à eux. Un des policiers me questionna, me demandant par ou était parti la victime, je lui indiquais le bâtiment situer derrière le mien, puis je regagné mes pénates. Vers minuit seize, je reçois un