A peine revenu de son rêve américain, hanté de Blues et de Folksongs, Julien Biget s’invente une réalité d’auteur compositeur en livrant, dans sa langue natale, une collection de chansons originales, soignées et sensibles.
Pour comparaison, on lui offre parfois Richard Thompson, Neil Young, Piers Faccini, ou encore Gabriel Yacoub. Il réalise lui même « le premier pas », un cinq titres prometteur, où il fait résonner guitare, slide, mandoline, mellotron et autres sonorités vintage comme pour mieux porter une voix intense, inattendue.
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