Née à Fumel (47), Nadia BenAli grandit dans le petit village de Soturac situé dans le Lot. Sa petite fée lui offrira le don du rythme et du mouvement, elle danse à tout vent et à tout champ.
Poussée par sa Maîtresse d’école, elle découvre à 9 ans le théâtre en jouant les personnages principaux pour le grand jeu régional « Recup’Verre ». Sa classe sera sélectionnée et gagnante. Cela sera sa première expérience du lien entre la nature et l’art.
Sa voisine, pianiste, l’initiera spontanément à l’éveil de la musique. Un lien se crée entre le piano et l’enfant.
Adolescente, elle s’éprend de l’escalade et du rappel, le contact avec la terre lui parait naturel et sain. Ce sport la conditionnera aux lois de la gravité et à la prise de risque.
A Cahors, elle s’emploie activement comme bénévole au Printemps de la Photo entre 1992 et 1994. Y découvre des expositions fascinantes, y rencontre des artistes français et étrangers. Elle décide alors de devenir initiatrice d’événements culturels et d’en faire un métier d’avenir.
Lors de ses études à Toulouse, son voisin de palier, l’embarquera au club de Jonglerie de l’université Paul Sabatier. Elle découvre la jonglerie et le club swing. En 1996/1997, elle fait partie du bureau en tant que trésorière.
En 1997, elle obtient avec succès son Diplôme Universitaire Technologique, Gestion des Entreprises et Administrations, spécialisation en Petite et Moyennes Organisations.
Dans la lancée, Nadia acquis son expérience en tant qu’administratrice pour la SARL Canasson Production d’Avignon et l’association Jok’art de St Gaudens.
En mars 1998, elle rencontre un prince charmant qui l’enlève pour l’amener vers son plat pays, les Pays-Bas. De leur union naît un bien bel enfant.
A Gouda, elle suit pendant deux ans des cours de Néerlandais et obtient un DEUG en 2001. Comme stage pratique, elle décide de créer un club de jonglerie au sein d’une maison de quartier (la jonglerie étant mal connu en tant que pratique amateur). La nouvelle se répand et les intéressés se manifeste. Vu l’extension de cette activité, elle fini par donner des cours de jonglerie. Pour combler ces lacunes de cirque, elle suit un stage de formation ‘initiatrice aux techniques de cirque’ à l’Ecole Supérieur des Arts du Cirque ‘De Hoogte’ à Leeuwarden.
En allant demander un monocycle à l’association Thuis op Straat de Gouda, le coordinateur lui propose un travail en tant qu'assistante de projet/animatrice de rue, spécialisée en cirque. En travail d’équipe, le cirque se développe dans les quartiers de Gouda. Ses projets seront d’y développer des journées circassiennes ‘Thuis op Straatfestival’ (traduction sans le jeu de mot : ‘comme chez soi dans le festival de rue’), où l’objectif principal sera la cohésion sociale par le partage, la participation et la rencontre. C’est un succès avec des résultats positives et visibles.
En mars 2003, elle décide de se mettre à son compte sous la forme d’artiste indépendante, et ce sous le nom de 'Bohémien'. En travaillant pour des écoles, collèges, lycées, maisons de quartiers, associations, centre d’art, paroisse, particuliers et entreprises, elle propose des ateliers, des animations, des projets et ses spectacles.
De 2004 a 2005, elle s’investit comme assistante maternelle dans l’école primaire de Rudolf Steiner. Elle acquiert une expérience avec la petite enfance tout en y découvrant l’anthroposophie.
Durant ces mêmes années, elle participe bénévolement comme traductrice au festival international de rue ‘Mooi weer spelen’ à Delft, en accompagnant des Cie et des artistes francophones.
A l’Ecole de Cirque de Bruxelles, Nadia suit la formation professionnelle de Pédagogie en Arts du Cirque entre 2005 et 2006. Elle suit les disciplines tels que acrobatie, aérien, jonglerie et autres attributs, équilibre sur objets, expression corporelle et se passionne pour l'anatomie. Et là, une idée vague : créer des activités circassiennes en milieu rural
Mes compétences :
Education
Education populaire
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Internet
Ciel Compta
Adobe Photoshop