LYON
L’intérêt que je porte à la psychologie, notamment à la psychopathologie et à la psychologie clinique, réside d’abord, dans le fait que j’ai désiré en faire mon métier. Pour cela j’ai suivi le cursus universitaire, proposé par l’Institut de psychologie de Lyon 2. Le parcours professionnalisant en a été l’aboutissement. Mais j’ai très vite conçu l’idée qu’il ne suffisait pas d’obtenir ce diplôme pour clôturer mon parcours en psychopathologie et psychologie clinique. Ainsi, le doctorat est pour moi une possibilité offerte de poursuivre un travail de réflexion.
L’idée de mon projet de thèse se situe au lieu d’une rencontre à cet autre, adolescent, auto-exclu parce qu’exclu, honteux d’exister et s’abhorrant lui-même devant l’effacement de « l’autre secourable » (Freud) qui a, primitivement, fait défaut. Ce projet se situe aussi à l’endroit où, en nous, clinicien, nous avons la lourde charge de porter cette honte et cette haine de soi, de la réfléchir, de la transformer et d’en permettre une intégration suffisante en fonction des capacités du moi du sujet que nous acceptons de prendre en charge.
Mes compétences :
Psychiatrie
Psychopathologie
Psychologie
Psychologue