Biographie de Pape Amadou BADJI
pour un enrichissement sans précédent de notre patrimoine culturel, et pour le développement socioculturel de l’Afrique, Pape Amadou BADJI s’est lancé dans l’industrie culturelle notamment a travers l’activité cinématographique.
Son premier film Koumadangh yeti Afagna (Les funérailles d’un forgeron en pays Diola) dont le tournage a été fait en Casamance dans le sud du Sénégal, est une oeuvre qui, “qui montre l’ethnie diola dans sa profondeur et parle des familles Diédhiou qui sont devenues incontestablement les maîtres du feu et les sorciers du fer”. En attendant de mobiliser les moyens nécessaires pour porter Koumadangh yeti Afagna à l’écran, Pape Amadou Badji continue à écrire.
Son deuxième scénario est intitulé Ma famille est rentrée dans l’histoire, et raconte à travers le personnage de Bakolon (grand-père) l’histoire de la famille Badji, une des grandes familles en pays Diola, au sud du Sénégal., le personnage de “Bakolon Badji est celui qui, à l’image du Christ a connu l’ascension”. Le réalisateur sénégalais, Pape A. Badji, qui a étudié l’Histoire à l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar avant de bénéficier d’une formation de cinéaste offerte par l’Ambassade du Brésil au Sénégal, affirme que Ma famille est rentrée dans l’histoire, est un scénario qui laisse présager d’un “film plein d’émotion et d’humour qui traite du problème de l’enracinement et du choc des civilisations”.
Des traditions, Pape A. Badji passe à l’époque moderne dans l’écriture de son scénario Sms dont le tournage va bientot démarrer avec les moyens du bord. Dans Sms, il est question d’une histoire d’amour entre deux jeunes Africains vivant dans dans des pays différents. Le jeune homme prénommé Pape est étudiant au département d’Histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Cheikh Anta Diop, à Dakar. Adia, la dulcinée de Pape, fait quant elle des études de comptabilité dans une institution privée supérieure à Ouagadougou, la capitale Burkinabè. Malgré la distance géographique qui les séparent, ils se parlent grâce à internet, et s’envoient des ‘textos’ par téléphone portable. Impatiente de rencontrer son bien-aimé, et ne comprenant pas pourquoi Pape ne vient pas la voir à Ouagadougou, Adia commence à le soupçonner d’avoir une autre copine à Dakar. Elle profère à son endroit des propos déplacés. Une crise naît donc entre les deux tourtereaux.Badji conclut que le film Sms, “recherchera aussi à rendre compte de la réalité dans le monde des jeunes, de la paresse dont ils font désormais preuve dans la lecture des œuvres littéraires au profit du divertissement sur internet…”Les jeunes talents comme Pape Amadou Badji, sont de plus C’est le cas pour Pape Amadou BADJI qui lui, après sa sortie avec l’école cinéma Nosso du Brésil est venu apprendre un autre langage cinématographique à l’université Chekh Anta Diop de Dakar sous l’encadrement du Professeur Abdoul Aziz Boye. Ces jeunes, la seule chose qu’ils demandent à l’État et aux privés qui disposent de moyens financiers conséquents, est de les aider à produire leurs films, pour un enrichissement sans précédent de notre patrimoine culturel, et pour le développement socioculturel de l’Afrique.
Aujourd’hui l’Entreprise culturelle au Sénégal souffre de la crise mondiale qui secoue le monde, et pour convaincre les partenaires à investir sur son produit (artistique, oeuvres) afin d’avoir une meilleur visibilité, Pape Amadou Badji est allé faire une formation au PECCS/FOMECC Sénégal, pour devenir un entrepreneur culturel, puis à Keur Meissa où il a suivi une autre formation en médiation culturelle.
Aujourd’hui, il est à ajocom.info, une agence de communication, une SARL située a Grand Dakar non loin du poste de santé, pour la promotion et l’essor de l’activité culturelle au Sénégal et en Afrique
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Mes compétences :
Réalisation audiovisuelle