Je m'appelle Henri, j'voudrais bien réussir ma vie...
Etre aimer, être beau, gagner de l'argent puis surtout être intelligent mais pour tous ça il faudrait...
Quel est donc ce bon vouloir et quelle est donc cette réussite ?
Quels seraient donc les critères d'une vie réussie ? Il est autant de réponses que d'humains pour les soutenir
Chacun si singulier, unique, individué et tous si rassemblés, collés, fusionnés sous des bannières électroniques si pratique pour la protection, si pratique pour l'exposition...
Et de quelle vie parlons-nous ?
AVOIR une vie privée mais privée de quoi?
AVOIR une vie professionnelle mais qui est professionnel, la vie ou vous?
AVOIR une vie professionnelle, comme une sorte d'instrument de mesure de la réussite moderne?
Si c'est donc d'AVOIR qui nous étalonne (AVOIR un métier, AVOIR des compétences, AVOIR des références) alors, je ne suis plus rien depuis bien longtemps.
Effectivement je n'ai plus jamais travaillé depuis 1982.
Suis-je pour autant un extra-terrestre ? Non.
Si je ne suis pas extra-terrestre je suis terrien.
Je suis « t’es rien » et ce n’est pas grand-chose mais ce sont « les miens »
Si j'écris "JE SUIS" cela fait de moi au moins un ETRE.
Un ETRE TERRIEN. Un être sur la terre comme les autres, comme « les miens ».
S’il existait une carte de visite soulignant le sens de ma présence au monde, le titre de « FAIRE HUMAIN » y trônerait en caractères gras.
Le gras du caractère, comme une couche protectrice autour du noyau « saint »
Le noyau sacré, l’ETRE
J'ai aidé l'autre A VOIR, ou au moins à entendre mon humanité depuis ma première conviction d'animateur. Ma première conviction a fait suite il y a 28 ans à mon dernier travail
Animateur, celui qui donne la vie.
Depuis mes débuts dans cette conviction, je n’ai plus jamais travaillé
Naïve et fraiche jeunesse me laissant croire en la maitrise, du rock et des paillettes et poussant plus avant mon ETRE vers ce que je suis... un thérapeute. Un ETRE thérapeute...
Bien longtemps sans savoir, bien longtemps sans comprendre je progressais vers cet ETRE.
Je portais en moi inconsciemment le soin, le soin de l'autre.
Le soin de l’autre ? Pourquoi ne suis-je donc pas médecin ?
Ce n'était pas ma voie, ce n'était pas ma voix
Vox. Vox populi. Incontestablement ma voie passait par la voix.
Le soin des autres passerait par la voix.
Il en est ainsi aujourd'hui pour "l'être formateur", pour "l'être manager" l'être conseil"
Chacune de mes démarches est thérapeutiques.
Etymologiquement parlant « thérapeute » sonne comme « celui qui prend soin »
C’est autour de cette idée que j’empoigne chacune de mes tâches dans une qualité de présence à l’autre et à moi-même
Alors l’animateur, le formateur, le manager, le thérapeute n’ont jamais travaillé. Ils sont chacune de mes convictions, chacune de mes compétences, chacune de mes passerelles à l’autre.
Mes qualités et mes défauts, mes médailles et mes revers, mes ombres et mes lumières font-elles de moi un ETRE humain ?
Je laisse à l’autre ses convictions, ses compétences, ses passerelles et la médiatisation de mon humanité.
Mes compétences :
Physique
Psychologie
Psychothérapeute
Psychothérapie
Soin