Violaine Laveaux poursuit un travail d'installation avec des éléments naturels (branches, pigments, encre, cire, terre crue, talc, charbon, paraffine) qui lui procurent cette liberté d'écriture ou dessin et signes ne font qu'un. Un travail sur la mémoire et les gestes innés, les objets-monde tels que définis par Gaston Bachelard (nid, manteau, hutte). Depuis quelques années, une partie de son travail d'installation puise dans le registre des formes et récits mythologiques que nous offrent les figures des constellations. Elle a fait du ciel un creuset fertile, source et prétexte à la fois, pour décliner un travail de dessin, volume, dans l'espace, au mur, au sol, en liaison avec la configuration architecturale et parfois historique du lieu. Chaque installation est construite pour le lieu même.
Pas d'entreprise renseignée