Yann PAGES

Il ne viendrait à l’idée d’aucun chef d’entreprise de ne pas prendre soin, d’entretenir, de réviser le matériel, les outils, les machines ou les véhicules permettant le bon fonctionnement de son entreprise. De même il ne lui viendrait pas à l’idée de confier des missions à des salariés non formés, ou non compétents dans le domaine souhaité.
Nous oublions souvent un fait absolument factuel et si évident qu’il nous échappe à tous :
La première « machine » qui fait avancer une entreprise, l’entité à l’origine de tout, est le cerveau des collaborateurs qui la compose. Du plus haut placé au plus bas de l’échelle, aux intervenants extérieurs, qu’ils soient clients, fournisseurs, administratifs, partenaires, ou sans aucun lien avec l’entreprise, tous sans aucune exception fonctionnent grâce à leur cerveau et interagissent entre eux.
D’ailleurs plus le niveau de responsabilité est élevé au sein de l’entreprise plus la charge énergétique subit par le cerveau est forte.
Ce cerveau comme toute machine, à un mode de fonctionnement intrinsèque identique à chaque individu, et il est possible de l’entraîner. La structure même du cerveau, sa plasticité, rend cela possible

La pleine conscience pourquoi faire ?

Les dernières découvertes scientifiques concernant le cerveau, font baisser chaque jour un peu plus la part de notre conscient dans notre vie quotidienne, le relèguent à un rôle de spectateur passif.
D’après ces même études, ce résultat n’est pas uniquement dû au fait que l’on comprend mieux le cerveau aujourd’hui qu’hier, cela vient aussi du fait de notre mode de vie.
En cent ans, le nombre d’informations traitées par le cerveau dans une journée a été multiplié par 100. Bien que notre cerveau semble répondre à l’augmentation de ces sollicitations quotidiennes sans problème, il en résulte tout de même une fatigue fonctionnelle, due au fait que le cerveau fonctionne quasiment en permanence en mode automatique pour traiter ce flux croissant d’informations.
Un individu qui n’ai que rarement connecté à son conscient durant sa journée, n’agit plus qu’en mode automatique, et de ce fait manque de recul, d’imagination, de compréhension, et crée une forte dualité conscient/inconscient quand il revient à la « réalité » ce qui est appeler couramment : le stress.
Pourtant un conscient entraîné permet un meilleur fonctionnement de l’inconscient, donc du cerveau.
On a longtemps considéré que la seule partie de notre cerveau qui mérite un entrainement est la mémoire.
Bien que fondamentale pour notre cerveau, la mémoire n’est pas tout, et loin de là. Une très bonne mémoire enrichie de beaucoup de données, écrasée par un stress important, n’est pas loin d’être d’aucune utilité.
Grace à un entrainement basé sur une variété d’exercices adaptée à la personnalité et surtout à l’emploi du temps de chaque un, la pleine conscience, la pensée altruiste et à l’apprentissage de la méditation en pleine conscience utilisaient comme gymnastique du cerveau, nous apprenons à reprendre pied avec le présent tout au long de notre journée, et de ce fait à limiter l’impact de l’ultra sollicitation que subit notre cerveau dans son quotidien.
Conclusion:
Par une explication rationnelle de l’énergie grâce à la mécanique quantique, scientifique du fonctionnement du cerveau, et un entrainement personnalisé, simple dans sa mise en place quotidienne, vos collaborateurs sont beaucoup plus réceptif à l’apprentissage de la pleine conscience, de la pensée altruiste et de la méditation en pleine conscience, car ils les prennent comme des outils du cerveau et non pas comme un courant idéologique, philosophique, ou spirituel.

On ne change que ce que l’on comprend.