Chef d'entreprise et mode de rémunération : ne pas choisir, c'est pâtir.
La loi de finance 2013 a vu s'abattre sur les dirigeants (TNS) un véritable tsunami fiscal.
Qu'on en juge :
- Suppression de l’abattement de 10% pour le calcul des cotisations sociales des TNS
- Augmentation des taux cotisations retraite.
- Retraite de base : 18.85% vs 18.65%
- Retraite complémentaire : 7% et 8% vs 6.5%
- Augmentation des tranches de cotisation retraite complémentaire : plafond à 148 000€ vs 109 000€
- Augmentation de la cotisation maladie/maternité : 6.5% vs 5.9%
- Déplafonnement de la cotisation maladie/maternité.
- Suppression de l’abattement d’impôts sur dividendes de 2 x 1525€.
- Soumission aux cotisations sociales des dividendes des TNS qui représentent + de 10% du capital social.
- Abaissement de la part de CSG déductible de 5.8% à 5.1%.
Ces évolutions ont pu faire perdre près de 20% de revenu net à de jeunes entrepreneurs qui ne se payaient même pas le SMIC!
Il est de fait indispensable de se pencher sur ses méthodes de rémunérations (au sens large) afin d'en limiter les ponctions fiscales.
Entre rémunération "subie" et une rémunération optimisée via un arbitrage précis entre rémunération et dividendes plus la mise en place de dispositifs d'épargne salariale, le net perçu du chef d'entreprise peut être remonté de plus de 15%.
Il ne tient qu'à vous de desserrer l'étreinte fiscale!
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