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Gamet NICOLAS

LYON

En résumé

- Le signe du cœur -

Aurais-je un jour imaginé qu’un tel projet, aussi modeste soit il, puisse voir le jour dans cet univers où la féerie ne s’opère que si l’on veut bien y prêter l’oreille ?

Pourtant si l’on en croit ma naissance, tout prête à croire que j’y étais prédestiné :
Enfant d’une famille de musiciens (le grand-père chantait, un cousin bassiste émérite de Camille et Renan Luce, un autre clarinettiste au Conservatoire, une sœur au timbre de voix cristallin , un père artiste, auteur, compositeur et producteur à succès (Blankass, Daran, Nilda Fernandez, Les Dogs), grâce à cette hérédité (va savoir…), je n’entrevoyais ce monde qu’à travers le prisme d’une respiration, une volute magicienne quelque peu surréaliste à mes yeux … Bref un mirage de l’enfance où Randy Newman, James Taylor, Les Beatles, Supertramp, les Beach Boys, Tom Waits, Rickie Lee Jones berçaient ma candeur…

Après quelques essais de batteur du dimanche (mes compagnons de voyages me l’ont souvent rappelé : « T’es trop fort !!!!... »), le mystère qui s’opéra à l’aube de l’âge adulte me transporta peu à peu vers une dépendance viscérale…
La fin de la faculté, dans une époque où la fragilité s’abreuvait du spleen ambiant (Portishead, Massive Attack, Jeff Buckley) et parfois rageur (Nirvana, Pearl Jam…), acheva le jardin des possibles vers cette destinée (Guy Marchant !) et ce cheminement personnel tant décriés par les uns et salvateurs pour moi !

Je me lançais donc, autodidacte non proclamé ! batteur, chanteur, choriste, vers cet océan inépuisable jamais tari d’inspiration toujours à vouloir le conquérir, telle une muse, une fée, une sirène pouvant engloutir en son sein bien plus qu’un Ulysse…
Et vogue la galère comme dirait l’autre ! Sans jamais parvenir à l’Olympe, tu chercheras ! C’est exactement la saveur, le parfum doux-amer dont on ne se remet jamais, qu’on ose re-goûter de peur de ne plus en reconnaître l’essence même :
L’angoisse de la page blanche mêlée à la frénésie gloutonne de la création (recréation serait plus objectif) !

Tout ce dont il me fallait !!

Et le Piano va sano…c’est ainsi qu’on pourrait peut-être me définir, je décidai de « faire mes armes » aux côtés « de frères d’armes » (Nicolas Nourrit, Triste sire, Julien Sorel, Daytona, George, Kells, Isia, Csar, Elisel, Steve Marsala…et bien d’autres encore furent mes compagnons de route) afin d’explorer, d’apprivoiser ma nouvelle famille… Musicien de studio, de scène et de groupe (Batteur/chanteur du groupe Mok) c’est au cours d’une rencontre avec Edouard Coquard (batteur percussionniste de Supercolors, Paris jazz Big Band, Nilda Fernandez, Bassiste de Gerald De Palmas…) que l’idée d’une introspection se fit nécessité…

Comme un souffle nouveau, un changement de cap, direction « la possibilité d’une île » salvatrice ou pour le moins thérapeutique des tourments et bonheurs intérieurs…
Le bilan d’un passé, même « adulescent ! », la volonté obstinée d’en découdre au travers de ce tourbillon de la vie et, bien entendu, de ces incessantes mélodies en perdition dans cette petite boite crânienne…

Voici donc ici 12 instantanés ou tranches de vie, inspirés ou non selon votre ressenti, de ce passé qui reste encore à puiser …..
Niko


Mes compétences :
www.nikogamet.fr

Entreprises

  • Musicien indépendant - Auteur/compositeur/interprète batteur chanteur

    maintenant
  • Hacienda - Musicien

    2012 - 2012

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