Mes compétences :
Calcul Haute Performance
Calcul parallèle
Mécanique
Mécanique des fluides
Performance
Simulation
Simulation numérique
Entreprises
IDRIS/CNRS
- Ingénieur de Recherche
2009 - maintenantSupport applicatif HPC pour les projets DEISA2 / PRACE et IDRIS.
Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (LSCE - CEA/CNRS/UVSQ)
- Ingénieur de Recherche en Mathématiques Appliquées
2006 - 2009Mission au LSCE-CEA Saclay (Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement) sur un financement ANR dans le cadre du projet CICLE (Calcul Intensif pour le Climat et l'Environnement, associant l'IPSL, le CERFACS et Météo-France). Ce projet a pour objectif de porter et d'optimiser les modèles tridimensionnels de climat sur une large variété de supercalculateurs massivement parallèles. Je participe plus particulièrement à la parallélisation et à l?optimisation du code de calcul du Modèle de Circulation Générale Atmosphérique (code LMD-IPSL) et du code de calcul de chimie atmosphérique INCA, faisant partie du modèle de climat de l'IPSL sur les machines du CCRT (Nec SX8 / SX9, BULL Novascale 3045) et de l'IDRIS (Nec SX8).
Université d’Evry - Val d'Essonne
- ATER mi temps
2002 - 2004Enseignements de Mathématiques, Méthodes Numériques et Mécanique des Fluides.
Laboratoire d'Informatique pour la Mécanique et les Sciences de l'Ingénieur
- Doctorant
1999 - 2002Nous étudions numériquement la stabilité vis-à-vis de perturbations 3D d'un écoulement 2D d'un liquide maintenu par capillarité entre deux barreaux cylindriques coaxiaux isothermes et soumis à un flux thermique latéral. Les solutions numériques sont obtenues par méthode de collocation spectrale. Les écoulements stationnaires sont obtenus par méthode de Newton et une méthode d'Arnoldi est utilisée pour l'étude de la stabilité linéaire. La recherche a été menée sur une large gamme de nombres de Prandtl, allant de 0.001 à 100 et pour un rapport d'aspect égal à 2. Le mécanisme de déstabilisation est analysé en observant le taux de croissance de l'énergie de la perturbation. L'utilisation d'un nouvel outil d'analyse, le système adjoint, permet d'identifier les zones sensibles de l'écoulement à des perturbations impulsionnelles. La localisation des zones sensibles permet d'identifier les structures sensibles des écoulements stationnaires 2D. La structure d'écoulements 3D faiblement non linéaires a aussi été décrite.