« Les entreprises qui réussissent sont celles qui ont une âme », Jean-Louis Brault, Ingénieur Président Directeur Général GTM, 1939.
Cette citation reste plus que jamais d’actualité, que ce soit pour les multinationales, les grandes entreprises familiales ou les PME.
Alors que les premières s’appuient davantage sur le marketing et la communication pour définir une identité qu’il leur est propre, l’âme des entreprises familiales et des PME reste encore très liée à leur dirigeant. Le lien qui existe entre le dirigeant et sa PME est souvent très fort et l’affectif tient une place importante.
Dans le cas d’une cession après de nombreuses années d’investissement pour le cédant, la reprise d’entreprise est donc un exercice difficile. Alors que le dirigeant s’apprête à céder et confier le projet d’une vie, le repreneur doit en assurer la succession et faire vivre l’entreprise sous un nouveau jour.
En tant que jeune ingénieur et candidat à la reprise, je n’ai pas l’expérience d’un chef d’entreprise en fin de carrière, et je viens d’un « monde » différent de celui du cédant. Je vais pourtant devoir le convaincre que je suis l’homme de la situation, capable de développer son entreprise en lui donnant une nouvelle âme.
Mes compétences :
Gestion