On parle souvent de traitement automatique des langues (TAL) mais la communication sur ce sujet a progressé plus vite que la technique et beaucoup de faux graal ont été et sont encore brandis régulièrement.
L'objectif général, dont le TAL participe, est l'exploitation des données non structurées : texte, image, video.
Selon une étude relativement récente (2006) de la société Van Dijk, les données textuelles représentent 90% du total des informations de l'entreprise et croissent de 6400% par an.
La démarche en vogue aujourd'hui est une "modélisation du monde" sous forme d'ontologies. La limite de cette approche est la lourdeur de la tâche qui incombe aux administrateurs de ces ontologies et le peu de robustesse des moteurs qui les utilisent.
Notre approche est originale en ce qu'elle ne cherche pas à modéliser le monde mais le langage lui-même. De ce fait, ses limites sont liées d'avantage à la puissance des ressources machines qu'elle mobilise. En revanche, la promesse de cette technologie est un saut qualitatif sans égal, une souplesse de mise en œuvre et ne connait pas les limites de robustesse de l'approche précédente.
Mes compétences :
Architecte
Billing
bscs
facturation
Informatique
Intelligence artificielle
Linguistique
Telecom