A la recherche d'emploi dans le secteur de l'environnement, je suis également curieux et enthousiaste de participer au réseau viaduc
Mes compétences :
Physique
AIR
Chimie
Analyse
Entreprises
LECES
- Ingénieur Etudes
2011 - maintenant
ATMO PACA
- Etude de la qualité de l'air
LA VERGNE2007 - 2007Participation à une étude de la qualité de l'air
Environnement SA
- Responsable de site
2007 - maintenantSupport technique analyseur de gaz et particules
CNRS-CEA Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement
- Ingénieur émission composé gazeux
2005 - 2006Etude du CO et des COV à l’état de trace des sources marine
Il a été montré antérieurement que le monoxyde de carbone (CO) et les hydrocarbures non méthaniques (NMHC) sont émis en surface de l’océan en raison de la sursaturation de l’eau de mer par rapport à l’atmosphère. Les principaux travaux ont porté sur l’étude en laboratoire des mécanismes de production de ces composés ainsi que sur l’étude ‘in situ’ de la variabilité spatiale des concentrations dans la colonne d’eau, et sur leur variabilité géographique. Sur la base des mesures de la sursaturation de l’eau de mer, les travaux les plus récents attribuent à cette source marine une intensité de l’ordre de 5 Tg.an-1 (Guenther et al. 1995) ou 3,48 Tg.an-1 (Dulmer et al. 1995) pour les hydrocarbures de C2 à C6 et de 165±80 Tg.an-1 (Erickson et al. 1989) ou de 30-70 Tg.an-1 (Zafiriou et al. 2003) pour le monoxyde de carbone. Les incertitudes associées aux estimations de ces sources montrent l’intérêt d’une meilleure quantification basée non seulement sur des études ‘in situ’ mais également sur des études de taux de production par les organismes planctoniques.
Ainsi dans le cadre du projet européen OOMPH (Organics over the Ocean Modifying Particles in both Hemispheres), une expérience de laboratoire a été conduite à l’Institut de Recherches Marines de Kiel (‘Leibniz Institut für Meereswissenschaften‘) en janvier 2006. Les objectifs majeurs de cette expérience ont été de caractériser les émissions de CO et NMHC pour différentes monocultures de plancton en termes de composés produits lors de l’activité des cellules sous l’action du PAR (photosynthetic active radiation : entre 400 et 700 nm) et de quantifier ces émissions en les rapportant quantitativement au taux de chlorophylle ou au nombre de cellules et à l’éclairement. Les résultats préliminaires de cette expérience sont présentés ici pour chaque monoculture et pour les composés émis de 2 à 6 atomes de carbone.
La deuxième partie a consisté en la mise au point et l’optimisation d’un dispositif permettant de déterminer la concentration de CO dissous dans l’eau de mer, basé sur le principe de l’équilibration entre la phase aqueuse et une phase gazeuse. Cet équilibrateur devrait permettre d’étudier la sursaturation de l’eau de mer en CO et NMHC, en déduire la variabilité spatiale des émissions et tenter de relier les variations aux paramètres locaux comme la nature des masses d’eau, la présence de fronts océaniques, la teneur en chlorophylle, les paramètres météorologiques, et l’ensoleillement.
AVL France
- Mesure émission gazeuse automobile
Croissy-sur-Seine2000 - maintenantTechnicien mesure d’émissions gazeuses au sein de la société AVL:
Recherche et Développement, instruments et bancs d’essais moteurs et véhicules :
• Rédaction de mode opératoire
• Mise en service d’instruments de mesure
• Actions de maintenance préventive et curative
